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2.12.
)
r-eligieux; qu'il
doit ctre
en
rapport
avec
leur fortune
passee ;
que ce
traitement
est
v.i.q.ger,
et que
not!e
po.ssession
sera
perpe–
tuelle.
Quand aux pauvres, :sans doute, un
de nos plus
importans
trav~ux,
est d'ctablir
dans la socicte un tel ordre
de
choses, que
le pawvre trouve petr-tout du
travail
et du
pain.
Quand
at1x
vieillards , il
n' est pas
vrai
qu'ils
soient jan1ais
clans le
c1s
de
recevoir
l'4umone;
leurs
besoins
sont une
dette
que
la
societe
ne peut
s'empecher
d'acquitter.
Lorsque vous avez
prononce
que la loi ne
·reconnoitroit plus
les
vceux
111onastigues ,
vous
n'avez
pas vo11lu
que
vctre lui
ut
un
effet
retroactif;
et
certes
:J
elle a 1roit
cet
effd,
si el e s'etendoit jusques sur
cles
habi–
tudes contractees
sons la sauve-garde de
Ia
loi. Vous ne
pouvez
c€truire
l'
elfet des vreux;
'
et
le
sentiment meme
de
votre
impttissance
ne
do.itpas
horner votre
generc
ite.
~<
On a voulu faire
un
parallele entre les
vicaires et
les
rnoines
secularises,
et
I'
on en
a conclu que
les premiers
n'ayant
que
cinq
cens livres,
lcs seconds pouvoient ne pas
obtenir
davantage.
J'ai
s~nti
toute
l'impor–
tance de cette ob ervation ; mais
considerez
~u"~
yicaire a de griilnds
avantage~,
qu'il
.,.
I