(
36
9)
~
te soir
dü
meme jour . ;
il
avo~t
été–
- remercier '
la
capitale
dé
l'intére t
q1/ell~
•
/
•
'
1
,
\
a,y o1.t
pns a
son uepart
et
a son
retour~
Arrivé
dans la salle de
l~hotel ....
de ·- vllle ,
i
~
a voit eu le prémmp-tueux conrage de -solli-–
~iter une amnis_tie générale ,
meme
pour 1Íj$ .
agens du
pouvoir
éxéc~ltif,
véhémentement
soup9@nnés,
d'avoir
emplo_yé
d es
rn.oyeüs.
cou....
pahles pour .empecher
les
Fran\ ois
de d í?. venir
libres.
Du nombre de ceux--la ;
étoit
M.
·de .
Be:z.enval
1
arreté
et
détenu _
a
Nogent.
Les
membres
de la comrnune s'étoie ri.t
1i,,ré$
'1
un de
ces
mouven'lens d'
enthous iasl!le,
encore
· alors
si
naturels
aux Franc;ois ; ils
voulurent
g¡.e
que ·ie ministré avoit demandé~
M. Necker n'avoit qnitté
les
vér¡tahles
r eprésentan~ de la commuríe ,·
que p'our
se
rendre au
rnilieu
cles
Electeurs ; (
qui
alors
ri'étoiént
ou ne devoient étre rien
1
dans:
r
aJ....
ministration
de Parí~) et
avoit sollitité
d'eux ,–
les memes gtaces.
, Ceux-ci ayóient
arrité,
au
nom de
la
cóm..l;
muhe '
qu\~lle
pardomwit
a
totts
ses
ennemis
,
·
qu'elle pros-cri
;1o_it
tozlt acte de ·vioünte,
et
qi/
elle
regardoit dJsonnais co11zme Les seuls ennemis de la
J
I
•
nation
~
ceux
q_!IJi
t_rou.fvleroient par aucun exús
la tranqui!litJ pubiqueo
Tome
l ~
A
a
'