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r_
( 567)
5es arrogans aristocrates
·eux-~1emes
n'ont_été
'plus méprisés , moins redoutés , .- malgré leurs .
· troupes,
malgré
des sermens forcés,,,
qlie
der,uis ,
que leurs concit~yens ont
été
scumis
a
cet ah-
r
sur.d,e et criant régime.
,A
la pr-emiere occasion
qúi
s'est
of:Ferte de mettre la loi
e,n
exécut~~m,
au inoment oú de~ magistrats, maii;-tcnus en
_place par une
minorité
de
voix,
ont
vo.ulu
gouverner, l'ili~endi'e s.'est trouvé
pret ;' fa
plus
\ légere
étinceHe a
calls.é
l'ernbraséme:int.
Atterrée-'
par la crainte d'une nouvell~ garantie , d'un
nouve~m
siege ;
Ge
neve ·,a
conservé
cetú~
loi
folle qu'une triple garantie armée l'avoit forcé,e
-d'aclopter. Jamais ell.e ne sera· ni libre , ni
par
1
.
congéquení tranqui_lle, tant
que
ce mol)ument
-de la criminelle'amh,ition de ses c~.efs et de notre
injustice.nesera pas entierement 'détrnit.
>>
>>
·Mais
pour
revenir aux
plur~lités
g,raduées
<la~s leur rapport avec · un g1·and état, suppo–
.son~ la_
COUJtitution faite ,ou
prete
a
Se
faire,
·et voyons si, comrne
M. Fréteam le
pensoit,
(?n
pourroit .
y
joindre alors quelque loi
de
·Ce
genre pour gar~ntir 1~ constitution
>,.
j~
Si. e'est dáns le· but de inettre lá constitu–
tion
a
l'abrí
de toute atteinte du corps légis–
ladf, qu'
on vetlt étaÚir la pluralité
graquee, .
.le moyen est visiblement -Ínsuffi~a-nt.
La
cons-
'}'
.