{_113)
terns
que
_nous aurions déja, e~ployé utilem~nt
·
~
a
pourvoir aux besoins · l~s pl\:1s pr.essans
de
nos constituans ; .mais votre démarch_e. vrai–
ment populaii:_e, ouvre notre ame
a
une nou–
velle
espérance. Non, vous ne voudrez pas ,
puisque
~s..
sent~z si vivement la mis·ere du
,peuple,
VOU;~r~fuser'
att
S
€1.tlmoyén
d~ venir
~
son secours. Les dép1Ítés des communes se
seroient ,
déja
occupés d'un ..obj-et qui tient :
-de
si pres
a
leurs- sentimens, si
les
fu~estes ·
,diffic_ultés élevées par la noblesse' ap ' sujet
de lá
vérification des pouvoirs des députés en
l'assemblée, n~avoient forcé les repréientans.
du peuple-
a
une malheureuse inaction.
N
ous
,vous proposons done tle nouveau, Mess~eurs, ·
de.
vous réunir
a
l'instant meme avec
les
députés des communes
_slans
la salle
générale
des états, et nous chercherons¿, de conc<?rt,.
· les moyens de remplir vos intentions· et vo~
desirs
~
relativement
a
la
misere
des .
peupl~s.
~~
·
Séance. du
·11
juin.
A,1
moment de procéder aux disc;1ssions
dl!~
"jour, un memhre d~s communes, en demandan t- ·
·qu'on
fit
retirer
les
inq.ivi4us non -députés
qui
,.~e
trouvoient assis parmi eux, ajouta :
il
en eS;t ,
03-
.,,
·
1
'