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'

( 170

J

-

4'

·Il

s-eroit

ímprudent d'essayer de

rendre

co-mpte d'un djscours de cette éteP1due sans

l'avoir sous les yeux.

>>

(~n

paroit

qu'ona voulu

enfaire une especede

programme des

états-généraux;

mais l'assem–

blée

nationale.

a

qui l'on

n'a

pas

meme

parlé

>

'du droit

inaliénahle et

sa<;ré de

consentir

fim–

pot de ce droit , que depuis

plus·

d'un

an ;

le

roi a

reco:nmi solomnellement

a

son

peuple,

ést c'onstamment

réduite dans ce

discoürs

aux

fonctions. d'un bureau cl'administration, d'une

~hambre

des

finanGes ..

On a pu souvent

remar–

quer que le

ministre'

dont

le

rapport

fait au

conseil ilavoit pas préparé

~

de

telles

omis...

sions

,

s'en étoit apper~u

lúi-rµeme,

et vou–

loit

en

termes

généraux

prévenir .cette

objec–

tion;

mais les

1

observateurs

n'en

ont

été

que

plus ~t~:més qu'il

y

eftt donné lieu.

~

. .

,, Le résultat prinéipal en finances , est

qne .

'le

déficit,

dont .la

f

rance et l'Europe

ont

exa–

-~éré

a

l'envi

l'énormité,

n~est que de 56

mil–

lions,

et que

·2.5

millions d'a.ugmentation de

revenus , depuis ravénement

de M. N

ecke,r ,

so·nt

déja

le

fruit

du talent de cet admi1üs~

teur .... _,.,

,, A Ia vérité, dans le

dévelo_ppemelílt

efe,

e.es

2.5.

millions,

il

ei.1

est

bien peu qui ne

soi~n~