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n'est done que dans l'inégalité du fatdea.u
supporté par les divers fonds de ·terre , et
1a
difficulté d'établir la peine, dérive du pré-–
j'ttdice réel q:ue soufti-iroient les possesseurs
de biens nobles , ce~ ·biens ayant été acquii
et
comptés -dans les partages de familles pour
· un
capital proportionné aux prérogatives qui
,eur étoient assurées.
L'
on
ne
pourroit done
détruire etitierement ces distinct,ions
a
l'
égard.
des propriétaires lai:cs , sans admettre ,
sans
chercher du tnoins en meme-tems, un syst~_me
de
tompensation , ou
d'indemnité
»" •••
C'est
ains,i que l'éveque de, Nancy proféroit hier
dans 1~ chaire de vérité ces étranges paroles:
La
renonciatíon aux exempt-ions est un sacrifice
110Lontaire qüe personne n'a droit d'exiger•
••••
Et l'év@que de Nancy a été applaudi hier
!
et
.il
l'a
été-
ciujo~1rd'hui en entrólnt
dans
la
salle des Etats
!
~>"
»
Enfin ,
et
sur-tout d'une longue apologie
du
mode de délibérer
et
d'opiner par ordre ,
Oll
le ministre regardé comme la colonne du
p,euple ' a
nettement ,saérifié
les
príncipes
a
de futiles formules de conciliation, qui cer–
t ainement ne lui rameneront pas les ordres pri–
vilcégiés,
qui jettent Palarme dans les cotn–
munes , et
ne
pt!uv~nt attirer- que discorde et