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€tfet~.
C'est
un
autre mouvemen-t / un.e autre
inspiration, un autre ordre de chos·es , en un
mot, qu'on attendoit dans cette auguste
assem–
blée. Tous les1íeux commims,deptlÍs le bapteme
de
Clovis-
¡usqu'a
la mal'adie cl:e Louis le
Bien–
'Aimé
a
Metz , · et depuis les déclamatíons sur le
luxe jusqu'aux injures
a
la philos.ophie,
y
ont
trouvé leur place. II est trop évident que l'o–
rateur . n'étoit pas · d'accord avec lui-·meme,
,qu'il ~'avoit ni plan, ni
parti arreté,
et _
qu'il ·
a
mal jugé son époque.
H
,, Un
trait a été vivement applaudi :_ il étoit
question du régime fiscal,
de
la.
mise~e
des
campagnes, de l'état du cultivateur. L'orateur
a terminé nne amplifi.cation de_rhétorique par
ces mots :
.Jlt
e'est s.ous le nom d'un bon
roi,
'd'un
monarque
juste ·et sensihle,
que cis
T!Zisérable$
txacteurs exercent leurs bt1:rbaries~
l'Eglise a re•
_tenti des applaudissemens des commu.nes..
»
·" Un autre mouvement mérite
d'etre_
remar~
. ·qué.
FRANCE , TA. VOLONTÉ .
SU]ffIT.
Tóut
-~e discours devoi~ etre le
dévelo.p.pement
de
~e
mot
heureux·. )'
,, Les fréqueas éloges du roi ont
été
fort
approuvés; mais ils auroien.t dú etre
mie11x
¡¡menés et plus heureusement exprimés. ),
" L'aposfrophe
a
la Reine,
fille.
des Cisars
~
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