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{ 146)

la

confection

ele

laquelle nous

aurons concouru,

.levions -

nous etre

divisés

en

districts

pour

exercer

l'acte national

le

plus

important.

'Les

conséquence;'

du

principe de la

dépu–

tatio~

par ágrégafron~_ sont évid~ntes. On

n'ad-metttoit certainement

pas

la moitié

f

une

,.:ville.

~pour députer

directement

aux

états-g€–

néraux ; p·arce qu'une

ville

est

une agrég~tion

~ent~erúndivisible. Or,-si toutes les vigueries de

la

pr_ovince:

ne -forment

de

meme qu'une

seule

_ag.régation,

diviser

la

province en arrondis–

se~en~,

e'

e,t

diviser une communauté

en

ph1,sieurs

part~es.

Qui d'ailleürs doit

députer

aux états.:..géné–

ráux?

Ceux -

la

san~

=doute qui devront

etre

~

li~s

--par

le vreú

··des

députés. Or, je

demande

si'

'Íes ·¡réputés provens:aux

de

tous

les

ordres

ne

_líeront

que les

-districts

de

Forcalquier,

de

Dragignan, de T

oulon , oü

P,lutot

s'ils

ne

lier'o'nt

pas la

province enticre

?

_Le .

réglement

blesse

évidc.mment

ces

.

.

.

prmc1pes.

c,r

'1'un

coté, les éle·cteurs définitifs

de

toute

la

pt,ovince ne s.eront

point

réunis;

et cette

\

:#union

auroit pu, bien que

tres-imparfaite..

'