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la
confection
ele
laquelle nous
aurons concouru,
.levions -
nous etre
divisés
en
districts
pour
exercer
l'acte national
le
plus
important.
'Les
conséquence;'
du
principe de la
dépu–
tatio~
par ágrégafron~_ sont évid~ntes. On
n'ad-metttoit certainement
pas
la moitié
f
une
,.:ville.
~pour députer
directement
aux
états-g€–
néraux ; p·arce qu'une
ville
est
une agrég~tion
~ent~erúndivisible. Or,-si toutes les vigueries de
la
pr_ovince:
ne -forment
de
meme qu'une
seule
_ag.régation,
diviser
la
province en arrondis–
se~en~,
e'
e,t
diviser une communauté
en
ph1,sieurs
part~es.
Qui d'ailleürs doit
députer
aux états.:..géné–
ráux?
Ceux -
la
san~
=doute qui devront
etre
~
li~s
--par
le vreú
··des
députés. Or, je
demande
si'
'Íes ·¡réputés provens:aux
de
tous
les
ordres
ne
_líeront
que les
-districts
de
Forcalquier,
de
Dragignan, de T
oulon , oü
P,lutot
s'ils
ne
lier'o'nt
pas la
province enticre
?
_Le .
réglement
blesse
évidc.mment
ces
.
.
.
prmc1pes.
c,r
'1'un
coté, les éle·cteurs définitifs
de
toute
la
pt,ovince ne s.eront
point
réunis;
et cette
\
:#union
auroit pu, bien que
tres-imparfaite..
'