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• I

1

loix sont u tiles, outre que ~e seroit la une pé.;

tition cle princ'ipes, la va leu-r en

ere du royaume

ne st1ffi'roit pas pour racheter' les s.bus :,

,et

acherer de bonnes loix. 'Enfin, je dis que

fa

nobtes$e avoit autrefo1s la phis herle préroga-–

tiv~ qui puisse

exister,

celle

d' etre

t:oujours.,

armée pour la , cJ.éfense' de la. riation et de tous

' ses trtemb~es. Cette cond·ibution· étoit alors le

S·eul

·Ímpot, et~la noblesse ayoit

le

subli-me pri–

vilege de. fe payer seule. Je ne eon'cluerai point

de la qu'elle dc ive payer- seule les

impots

de

nos tems mod'ernes ;

tnais;feaserverai

que la

pJupart de~·

COnt-rihtttÍOflS

ne·

S0Rt

aujourd'nui

que le remplacement de e€tt e· force militaire,

qüi

ne

co-u-N,>it

ri ~n

a

l'Etát'

et

n'ét1oit

Ufl

im.- \

pót que p<rn~

la

nobiesse ; et qu'ainsi ,-

pou:r

etre

cons~quente, erle devroi-t 1:é_clamer, non

des exemptiops, mais le

droit

-de

p-ayer

~

Iaisser

fimpót vol~·ntaire altx

autres- o1!dres ,

e~

le

cléclarer f? í-cé pour elle : c'est du moins

a

ce

résult.at:

que conduiroit

l'analogi~

des

-tems

,

des

hommes

,et des choses.

· ·

Que si dans la cinquieme s~artee de

l'ae;sem.!i

blée ' je ne développai point toutes c~s obser~

v ations,, content de demander a-cte de ce· que''

je

r ejetois

p ou r

mo i-~eme

des exemptions

qui