\tne représentation libre ·et universelle, et
nous
seuls
serions
privés
de ce bienfait, comme si
nous pouvions
r
etre
de
SQ-n
amour et de sa
justice l
Quoi
!
la nation entiere recouvreroit
ses
droits , et
nous seuls resterions plongés
dans
la
barbarie
des abus antiques
!...
Voila
le
germe de
ce que
j'aurois dit; mais devois–
j
e
tout dire
?
~ombattre une erreur fondamen–
tale,
encourager·
une vérité nai-ssante, attaquer
des
préjugés destructeurs
de
toute
régénéra–
tion, e'est
la
ce que dans une grande assem-
~
blée un ami de la
paix
pouvoit se permettre;
et j'ai préféré
a
une attaque ouverte , de
ne
pas croire
a
l'injustice; ou plutot de 1~ livrer
a
cette éternelle conviction qui la pour.suit
ell e-mem.e, .
et
qui
en
triomphe
tot
Oll
tard.
·.
· Puissent les príncipes qut je viens de
~é–
velopper
dans
cette protestation , etre enfi.n
urie
base solide de
cette
paix , que je
n'attends
pas pour
moi-meme,
parce
que j'aurois trop
de haines
a
étouffer, mais que je desire ar–
demment pour ma patrie
!
Puissent-ils etre le
germe d'une régénération trop juste pour etre
r efosée , et trop desirée pour
rl'etre
pas iné–
vi~able
!
)
J'a11rois
d.u
peut-etre t€rminer cette protes..,
· -tation par de~ plaintes , et je ne puis finir que