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t ,~.)

libératidns

que

les membres des deux

pre=

miers

ordres connoi-ssent tous,

et qui

ne leur

permettent plus de regarder comme uh.e nou–

veauté , ce que cent mille

citoy~n_s ont

cfit

avant

moi , sür -les abus de

la'

constitution

·proven~ale.

Que s

1

il

f'alloit eneore

cl'ai,itres

motifa ,

pdtJr j·usiifier

une

pareitle

motion '

je dirois

qu'elle

¿ttt ;

sirron

tous _

lés succes qúe

j'éñ

attendois-,

du füoins ceux q'uÍ m'intéres-soient

le

plus.Je

ir'

ohti:ns point' il

est vrai'

la

gíoite

qtti

m'avott

se·d·uit'

de

faire

dem.ánder

par

la

l .

noblesse et

par

le

clergé,

la

convocation d~s

trois 'ordrés

de la

pro-vince ; mais

je

par–

vins

a

itk~lir .la paix dans

l'as·semblée , et ce

succes ,

º!1

ne 1J!e l'a

point

d'ispU:té. En rem–

plissa:nt

un devoir

p,ersonnel,

il

sembloit en- -

core qt1e j'avois acquité celui d\e$- cinquante- ,

six c;l.éput~s

des

c0mmtmes ; je changeai leurs

rl6bats tumulttret1x en acclamations de

bie ··

1

,

satisfaits

de

voir

consignet dans le

proces-

_verbal uiie _réclaihatÍon· franche et loyale

a

laquelle ils

.décfarerent adhérer, et p~rsua,dé~

que

le roi

la

connoitroit

bientot , ils

espé- '

rerent tout -de .cette mo-rale publique ·

qni -

semble avoit soumis jusqu'au

gonvernement

E

4

J (

,,

...