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wiUX
questions agitUs
·dans
notre·
assemblé-e
t
parce
tiü'
elle
n'y
reconnoisso1t
pas des per–
s,onnes chois1e·s par la natiofl pour les disq1:-·
t~r ;
tout fai~oit_
sentir
la
nécessité
de ména–
g{;r
Fopi!1ion
publi6Jue·,
01i
du
moins
de
la
sou·
mettre
a
1'
exam@n, cle la
peser,,_
et
non
de
la
combattre;
de
se
rappro'c.her
_de~
.progre~
de
la,
raison huma·ine, et non
de
nous rejeter
danS:.
l'~nti,quité cles abus.
Ql!l:'ii1:
étóit
plus que tems· que
la
quatrieme
séance
d'e
nos
états,
p
:récécl.éepar
une
pareille
í~rmentati:on, prése!}tat aux trois 9rdres le ·
plan d\me
réunion
durable. La difficulté du
moment
ne
consistoit
qt1e
da.1,i's
la
lé-gi>timatien·
des. pouvoirs : mais la ct.iffiéulté permanente ,.
les véritables obst~cles ~aissoient
des
protesta–
tionS'
s.url'illégalité
de nos
prétertdus ét~ts, r~... '
1rn:i.1,veUées
daris
chaque séanc-e ;
d·e
la _
limita,..
tión
d:~s pouvoirs de tous les
dé'putés;
du.voeu
de la province ent,ier·e , pour
obtenir
la con...
-vocation
gfoérale
eles
.trois ordres
~
seul espoir
du salut publ:ic
j
', et sur~tout -du droit ~e dé--
, . puter aux éfáts -
généraux: :
droi~
que
la na–
tion refose de concentrer dans
une
as·semblée .
illégale. Pour
résoudre la
<lífficulté
du móment,
, ~e-président prnposa
de
regarder tous les
pou–
·yo-irs
comm~
lég~tiniés·,,
cl'adme-ttre.
tous les
. E~