4000000995

138 / 476

( 68)
métn.bres· qui form9ient dans ce .moment l\i·s..,.
semblée ,, et d'opiner sur cette question par ·
acclama¡ion. Les communes décl~rerent le
, champ qu',elles. ~e pouvoient y consentir, sa~s
énoncer: d@ la ffi'.aniere la plus e-xpresse., que
la légitifJ}atio~ des pouvoirs ne _rendrqit l'a$- _
semhlée actuelle, ni plus constitutionnelle, hi
1 •
¡, lus légale. · Cette réserve renouvella aussi-tót
toutes les p,ro.testations q{ii avoient agité l~s-–
iéances_pr.écéderites : ·et ce füt aú mifü:u de ce
c, -d'opinions; ce fut lorsque la paix, ~on-.
dée _, non ~nr les formes, mais sur l'intéret na-
·t.ionál, 'o'issoit .déso:rmais impossible ~ oh-.
. tenir' ·que · je ch:erch;J.i a l'ass-e<?Ír , non sur
l'erreur., non sur l'intrigue, mais sur la vérit~ ,/'
~t sur la justi~.' , ·
Qu'iÍ -ne s'ag·i$soit _plus a1ors de faire des
promesse--s auJ;: fO.mmune, , de pallier les abus,
d'é.tayer notre .con5titution , et de conserver
les droits du peuple par des réserves. Je
au 'contraire qu'il falloit sonder l'abyme clans _
~oute ,sa pr-0f0;.udeur ; nwiat:r~r Íes inaux , mais
a coté des remedes ; xespecter l'opinÍOFl pu- \
bligue, mais 1~ diri_ger ~-et mérifer la confiance ,
pour · avoir la paix. 1 Un motif plus décisif,
1 •/ ,
_mon devoir , -: mon serment de citoyen , ne
we permettoit pas 'de·\laisse'r faír~ . a J'asse~.~:J
I
I
li