AC1:E. -
.QUAT°~I-EM.·E.,.,
1
'
~.
ALVAREz;
GUSMAN. -
A°LVAREz:
MÉRITEZ
done, mon fils, un si'grand ava,ntag~.
Vous avez triomphé du nombre et du courr1,g.e,
Et de tous les vengeurs de ce -triste univers\
Une mo,itié il'est plus, et l'autre est dans vos
1
fers.
Ah! n'ensanglantéz p_oint le prix de la victoire,.
Mon fils, que la
clé.IJ?-enceajoute
a
votre gloir~.
Je vais, sur les ;vaincus étendant mes secours,
Consoler
lc-úí'
misere et veiller sur leurs jours.
Vous, songez cependant qu'un pere vo·s implore;·
Soyez ñomm~ et chrétien, párdonnez
a
Zamore.
Ne pourrai-je adoucir vos inflexibles mre~rs·r
Et
n'apprendrez-vous point
a
copquérir des creurs·,
GUSMAN.
Ah! vous percez
le
míen. Dernandez-moi ma
vie;
'Mais faissez un champ libre
a
ma' juste
fürie :
Ménagez le courroux
4e
mon
·cre.urOJJprimé".
Comment lui pardonner? le barbare est aimé.
ALVAREZ.
II
en est plus
a
pTafod~e.
GUSMAN.
A
plaindre? lui, mori
phe
!
Ah!
qu'on me
plaigne
ainsi;
)a:
mort
me
i:era
chere·.
I
,
•