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EN- AUTRICHE.
aient ~é?-uites :en g~ande-
partíe
P
on n'e$'t point
encore parvenu
a y
f~ire renonper les
yv
aU!il-qnes~ ..
Ces Wallaques aiment le
vin
et
l'
eau-de-vie
avec ,
passion. ,Ces deux vices ne déran,gen
t
pas
moiris leur
fortune que leur santé. Du reste,
la
danse .
est
pour
les filles wallaques
oe
qúe l'amonr-de
la
boisson est
. pour les _hommes,
·et
les
u.nset l esaütres
s'adonnent
av~c
exces
aux plaisirs ,qu'ils ain;tent.,
n
est ran~
•
'
A
. •d'
I
qu'un
vice nen entrame
po1.nt.·
autres.; et
a
pa~ _
ressé, si natu:relle
m;1x
vVallaques, les porte encore,
I
b
~
. d
A.
.
,; .
,·1
'
a u vo et au .
ngan , age.
. ·
UlSI ,
quoi,qu ( s
n
en
fassent pas p_rofes&ion cotnme
les
Czing,ares, ils
laissent cependant échapper
pei1
d'óccasions
.d<½–
prendre ce qui peut
etre
a
len!'
convenance.-
Com~~e
fa
plupart des
pe11ples
peu
éclairés,_ les
W
allaques sont superstitieux
al'
exces, le peu d'ins–
t.ruction ' du' clergé.
y
contrihue sure1~ent
ponr
heaucoüp. Qirnnt
a
leurs -ha:{)itations, elles .'ont
peu spacieuses ,
et le plu~
<;>rdinairement
ils
les
construisent
en
terre ou
en
hois. Ces maiso11s.
n'ont tout au
;pfos qn'tme,
seuhf.,chttmhre
et
,une,
c_uisine~
Le..urs
écuries sont également fort ma1
haties et toutesfo-rt :ba·sses. Nu1le-part
oa:1
.ne
·troí1ve
de granges
un
peu vastes~
L~s W
alÍaques conser~
vent
leur
ble
a,
la_
;maµiere des
Ho:a-grois
de
la
partie
du sud,
c'est-,,-a-dire dans des fo_sses desti-:-–
nées
a
cet usage~
Qua1H-
au ma'is, ik le.
serrent
dansdes cprheiU~s
de
roseaux,'.élevées de quelqpes.
~ieds au-dessus
de
la s:urface du terrain. J~eurs.