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EN AUTRICME.
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les frontietes de la Transylvanie, a
des
mceu~s
semblables
a
celles 4es Sze,ldeFS.
Les habitans des frontjeres militaires ' de
:fa
Transylvanie ·ne suivent pas tous la nieme reli-- ·
gion. Ainsi, ceux des deux régimens wallaques
appartiennent presque ious
a
la secte ·grecque ,
tandis que le nombre des · Grecs unis est
a.
peu
pres égal
a
ceh~i des Grecs non unis. EnJin ' da!}S
le . second,
011
ne
trouve que six vlilages habités
par des Grecs non unis. D'apres le pla~ co.n~u
lors de 'i'établissemeht de ces frontieres ,les régi ...
inens wallaques n'auroient dú etre co,mposés ·que
de Grecs unis; mais peu
a
péu la désuníon s' est
glissée parmi e1~x, --
1
et meme a1~j-ourd'hui
iI
n'est
pas rare de voir les sectes changer · dé ·dog~e ",
soit
a
cause /de l'ignorance du clergé ,, soit
a
cans.e de ~elle du peuple, qui n'a pas
1
la moinqre
idée -de sa religion.
Le premier régiment szekler est , ·
a
quelques
exceptions pres ; ent~erement cathoHque ; et
le
second est presque uniquement composé de
!é–
formés. La plus petite partie des Szeklers dé ce .
régiment ·appártient au rit catholique ou
a
_c~lui
des Grecs ut1is.
~
,
Quant aux régimens
des·
hussards szeklers ' dis–
séminé dans les autres districts, il participe
·aussj
a
leur croyance -rel~gieuse.
.
Il est impossible d'assigner le nombre de
pro–
sélytes q{1e , comple chaqüe secte des frontierei