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EN A
UTRICHE.
t
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artificfolles ; et quoiqne leur culture ~oit bien
simple _, elle paroitroit encore fort difficile
a
un
grand nombre d'hahitans de cette provihce.
, La
Transylvanfe étoi,t autrefois entierement
recouverte de
fore.ts;mais
a
mest,ue que la popu~
lation s'est accrue, et
que
la civilisation a fait des
progres, on les a
en
partie aba'ttues pour cultiver
les
terrairi& qu'eUes occ1,poient.
n
e,n
reste
cepe:ridant encor'e de forts helles : on voit les
p~incipales·
a
Rika, Harg.ith,
Par-a.id, M'ikoana
et
Zeidna.
II
en exi-ste égaletnent de forts étendues
dans les '(nontagnes qui éntoür·ent la prov\nce
du coté du nord
et de
l'est. Dans· cette
pa:rtie' on ne voit que des arhres \ toujours
verts ;
tandis que dans le centre de la prin–
eipauté les forets sont peuplées· de chenes, d'é–
:rables, d'ormeaux, de sa1des, de tilleuls, de
hetres et de frenes.
D~
grandes troupes de cochons
trouvent une nourriture aboildante dans ces
fo,.
:tets, et les .habitans
font
également usage -des
faines,dT1
hetre
ponr obtenir
t1ne
li
uile
'd
7
itne assez
honne qt1alité. Cependant/ malgré l~étendue de
ces
forets,
la disette
du
hois
s,e
fait beaucoup
sémir dans certains .liettx· ·de la . Transylvanie.
Cene disette tient aux
metn~S'
causes qüe dáns
}e
reste·
de
l'
Au
trithe ,
'c'ést-a-:dire
a
la
:
t.ri~ü_:_
váise
administratio:n; on 'ignore également
dans
tette
próvince
les
avantages qu?il
y
~urdit
'a
res–
pecter
les'
arbres
dont .on
pourroit
esperer'
de
'la.