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366

LA PRUDE.

SCENE

ti.

DO.RFISE, ADINE. \

DORFISE.

ENTREZ,

monsieur; bonjour, monsieur... je tremble.

Asseycz-vous.. .

·

ADINE.

Je suis fout iñterdit....

Pardonnez-moi , madame, on m'avait

d.it

Qn'une autre....

D

o

R F Is

E ,

tendrement.

Eh bien, c'est moi qui suis cette áutre.

Rassurez-vous ;, quelle peur esr la votire?

Avec Blanford ma cousin~ auj@utd'hui

Dine dehors : tenez.-moi lieu de lu.i.

( Elle

le

fa.it

asse0ir. )

ADINE,

Ah, qui pourrait en tenir lieu, madame?

Est-il un feu compara.ble

a

sa flamme?

Et

qq.el

mortel égalerait son coour

En grandeur d'ame, en amour·, en valeur?

,

DORFISE,

Vous en parlez, mon fiis, avec grand zele ;

'\:otre amitié para1t vive et fidele :

·

J'a,dmire en -yous un si hca~ naturel.

AD ÍNE.

C'est un penchant bien dome., ñiais hieu cruel.

DORFISE.

Que di tes-vous? La charmante jeunesse

Doit éprouver une honnete tendresse : .