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L'ÉCOSSAIS E.
sa eonduite , nous savons sa naissanee, nou·s n'ignorons
pas ses aventures.
PO LLY.
Quoi done? que connaissez-vous? que voulez-vous
dire?
FRÉLON.
J'ai partout des correspondances.
POLLY.
O ciel
!
cet homme peut nous perdre. M. Frélon,
mon eher
M.
Frélon, si vous savez quelque ehose, ne
nous trahissez pas.
FRÉLON.
Ah, ah! j'ai done deviné; il y a done quelque ehose,
et je suis le eher M. Frélon. Ah
<;a,
je ne díraí ríen; mais
il faut ....
POLLY.
Quoi?
FRÉLO N.
Il faut m'aimer.
POLLY,
Fi done
!
cela n'est pas possible.
FRÉLON.
Ou aimez-moi, ou eraignez-moi : vous savez qu'il
y
a
quelque ehose.
POLLY.
Non, il n'y a ríen, sinon quema maitresse est aussi
respectable que vous etes ha'issable : nous sommes tres
a
notre aise , nous ne eraignons ríen, et nous nous mo–
quons de vous.
FRÉLON.
Elles sont tres
a
leur aise, de la je conclus qu'elles