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L'ORPH. DE LA CHINE. AC. V,

se.

VI$

De l'enfant de \ros rois, qur m·-1 main vous ronfie;

Pat le droit des combats j'en pou vais di sposer;

Je vous i'emets ce droit, dont j'allais ahuser.

Croyez

qu'a

cet enfant, heureux dans sa misere,

Ainsi qu'a votre fils, je tiendrai lieu de pere.

Vous v errez si l'on peut se fier

a

ma

foi.

Je fus un conqu érant, vous m'avez fait un roi.

( A Zamti.)

Soyez ici des lois !'interprete supreme,

Rendez Ieur ministere aussi saint que vous:meme;

Enscignez la raison, la

j

ustic e et les mceurs.

Que l es peupl es vaincus gouverncnt les vainqueurs ,

Que la sagesse regne, et préside au cour~ge;

Triompb cz de la for ce, elle vous doit hommage :

J'en donnerai l'exempl e, et votre souvcrain

Se soumet

a

vos lois les armes

a

la main.

IDAM .É.

Ciel

!

que viens-je d'entendre? hél as

!

puis-je vous croire?

ZAMTI.

Etes-vous digne enfin, seigneur, de votre gloire?

Ah! vous ferez aimer votre joug aux. vaincus.

ID A MÉ.

Qui peut vous in·spirer ce d essein?

G-ENGIS.

Vos vertus.

FIN DU CINQUIE:M:E ET DERNIER ACTE.