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VER

rouil de

pone ou b porte du Ficf.

le~

ancien–

nes CoUnunes fonr mcnrion de cene forre d'hom–

magc.

VERRUCAIRE.

f. Plante donr les feuilb appro–

chent de cclles d.u Bali!ic , quoiquc plus gran–

des, plus blanches

plw velucs. Elle pouíli:dCs

racinc quam: ou cinq rcjcuons qui onc pluficnrs

ailcs

concavités,

parre

l:i

cimc des Aeurs

blanchcs ou rouITTitrcs ,

rccourbées commc

1~~;pc;;:~~ ~~;f~;~;e~·7~:ii~~tn~l~~~~~~a?le~:~

hotr•piHm,

caufc qu'clle fe cournc

coU.jours

vcrs

le Solcil. Elle croir dans les licux iprcs,

a fa

racinc mcnue

inutilc en Mcdccine. Ladécoétion

d'unc poignéede fon herltc, prifeen breuvage. pur–

gc par le bas les phlegmcs

colcrc. Sa graine ·

cnduicc dcílCche les porrcaux

les vcrrucs,

u nt

places que

pendanccs._

Dio[coridc

par~e

:míli d"

une

perire Venucaire qui croirdans les henx marcca–

geux,

qui a fes feuilles femblables

l':ium: . mais

r~~lS:~~:~:· p~~dg:~!~SCq~1~o~O~:;:\I~~eC~~C~~~~lf~

Auffi di-elle forc efficace

les Otcr loríqu'on s'en

&one. C'cll: ce qui fait

que

les Apothicaircs l':ip–

pellem

//"trrucAritf.

y ERRUE.

f. Pom::au , pccit durillon long

élc–

vé íur

pc:iu comme un petit pois. Les Vcrrncs

J~¡ (~~~~~: ~~~ ~º~i~h~~~;:,~: ~~:

;c~~~

C~;~º~

p:ir

chaleur, font

appellé~s

Cors,

íom qud-

~~1~~ss ~~[(~~:e~~"I ~~~:¡~:1~~~0¡1~ÍJ~

se~o~;~5s~~~

piés. Celles-13.íepeuvennraiter fuperficicllemcnt,

m:tis

en diflicile

les arracher hors du rendan

fans danger d'y attircr la gangrene. Les Verrues,fc–

lon les

racines qui les íolltiennent ,

fom

ramóc

plcines

camOc écroices. On appe

lle les

premiercs

//"trr11t1 fojfilts

M1rmte1a

cau.íe

de la ref–

fc:mbl:mce qu'ellcs ont avec

les

fourm1s,

lesau–

rres

íont

:ippellées

Acrochordonts.

Qu:ind elles

pouíl'em beaucoup ,

qu·elJes s'étendent au large

avec une durecé confidcrablc, on les nomme

C•r–

ntJ.

Celles-l:i font ordinairemcm placécs fur un

os,dom

íemble qu'elles tirem leur íl:rudure par–

ticuliere

leur dureté , moyennanr l':ilimcnc de

l'osqui exude

dég~n~re

en vcrrue. Ces pom:aux

ou duri\lons fe gucnílem en gencr.i.I p:t

r Je

fue cc–

cenc

tic

grande Chelidoine, qui les

fa.ir

chípa–

rolrre inícnfiblemenr, íurlroucfi on a Coin d'en

con~

pcr auparavam_, les panies les plus dures,

p~ur l~s

;:!~:,u,n ~\~: [~~~~~jé~ ~~ifee/:i~~~t:~~~~~~~ ~;~

fair évanouir, ce que

f:m

auíli le fue blanc de p1f–

fcnlisou derit de lion. On peut encare Íc fcrvir de.

fcuilles de Joubarbe, qui les emportem

peu

peu,

étant appliquées aprCs qu'on en a Ote la perite

peau imcrieure , pourvíi

qu'~llcs

íoicnr.

~ouvcm

renouvellées. Les cors des p1és íe guenílcnc par

l'ammoninc íeul diífous d ·ms du vinaigre épaiffi

appliqné, ou par le foc du Tidlimale ouu .avec

une plume. Q.!1anr

aux

corn~s ~ ~n le~

guer:c en

les coupam jufques dans

ca.eme, a. moins qu elles

ne fonenr immcdi:nement des fomrcs du cranc.

les pem pourtam couper , mais fans !Ottchcr

racine. qui

reprodu~c

tous lt:s mois.une nouv.dle cor–

ne,qu'i\

fauc

auffi fc1er tous lesmo1sou cous lesdeux

mois.

Vt.RSEAU.

m. C'eíll'onziémeSigneduZodiaque,

que les Altrologues appcllcntÁ')t:arius.

domine

ctans le mois de ]anvier.

VERSER.

Epandrt unt lu¡11tt1r tn fa 1111idttnt

d'11n 11afa d1tn1 un lfHlrt ,

q11tlq11t ANlrt far"

V E

t¡H_t ctfoit.

AcAo.

Fn..

Ondir,enccrmesdeChy.

nue,

fl'trftr par inclinat1on,

quand il y a des

fcls

ou des mé1aux précipités au fond du Vaiílb.u,

~~~~

en fait forcir l'eau en Je panchanc douce-

VERSO. (. m. Tc1me de P:tla.is. On appelleainfi la

page qu'on rrouve aprCs qu'on a cm•né le ft::uiller.

die par oppofition au

Rtllo,

qui di

page

qni

fe preíeme d'abord.

VERTEBRE.

~enne

d'An:'ltomie:

L'sm tit ct1 01 r¡Ni

1'tmboi111nt l'Hn da11s l'autrt, compofent l'l'pint du

do1 dt !'animal.

A D.

Fn.. Ces

os s'étcndenc

depuis le haut du col juíqu'au croupion. Le col a

fepc vercebrcs, le dc..s douze

les lombescinq. Les

vcnebres du col font percécs pourdonner paífagc:

aux veines

aufancrcs qui momenc au ccrveau.

On die ordinairementque la luxation des Vertebres

du col cauíe l'eíquinancic; Íur quoi Enmuller fait

connoícre que ceux qui ísavenc la íl:ruél:uredes Ver-

:~~~~se, d~~n~7a:e~~ ~;u~r~cf:~ ;~~~ ~r~~~i~ e~~

bien emendu un aphonfine d'Hippocrate,qu'on

m–

terprcce de l'efquinancit par

luxarion des Vene–

bres du col, au lieu qu'Hippocrare ne parle que

d'une convulfion Íemblable :icelle que l'on nomme

Em¡roflotonos.

ell: évidenc, pourfuir Eumuller ,

que l'cfquinancie ne eeuc arriver par

luxation

d~s

Vertebres du col, pmíque cene luxation

·all:

impoí-

f~~l;e·,ª&m~i~~ f~

·:~~~~ 1!~·r¡;¡n°e

~:f~r:;;fc :¡~~

gr nde concorfion , d'oll s"eníuivroic lºabolicion du

fencimenc & du mouvemem ,

l'apoplcxie, plUcOt

que l'efquinancie,les apophyfes des VerrebrCJ ét:mr

cellemem accrochées l'unc dans

l'autre,

qu'il n'ell:

pas poffiblede les l11xerfans fraéiure&fansdanger

~~i7

f·~~C~~t!~:~;~~:~~~e:l~~l:~~d~~~~~~:tJ¡~O~

du fphintl:er manque. Amants Luficanns r.:1.pporte

~~~~~rl~: l~\~~r~f~~

~dr~~bér~~c:;~~~~;i

~ld~~

fue

plus en pouvoirde retenir fon urine. Le mot de

P'tntbr,

vient du Latin

Verrtrt,

Tourner,

cauíc

que c'eíl:par

mayen des Venebres que le corps Íe

tourne.

yERTENELLES.

(.f.

Terme de Marine. On appel–

le ainfi les pc::nmres

les gonds ou ch1rnicres qui

J;~~~~.~;~~;o~~;~~e~~ l~u~.~~:b~:~:reJ;o;~t~~f~~

donner le mouvemem.

VERTEVELLE. í.

Terme de Scrrnrerie. Eípe;:cs

d'anneaux qui re1icnnenr les verroux. Ces Vene–

velles ont une double fiche ou poince qui emre

dans le bois par un fcul crou,

C¡ui fe rabar par

dehorsdepan

d"autre, ordin:iiremem dccinq

iix pouces.

VERTICAL,

A LE.

adj. Termc d't\fironomie.

Qt.ii

cíl: perpendiculaire

l'horifon,

al~

quc:lque plan

honfonu.1.

Ytrtical

s'oppoíe

horifo11111!.

Les cc:r–

clcs Vercicanx font

les

.Az..imNths.

Voye~

AZI–

MUTH. Le point 'Vcnical ell: le

Zmith.

Voyez

ZEN

ITH.

des

.2.!!,aára111 Ytrt1cau'-··

oye~

Q.UADRAN.

VERTIGE.

m. Eronrdiffcment de tCte caufé, ou

r~~uf:7:c~;~~~t~~~~::~ ~ife:º~~erc:~v~~~(:C:0:

~~;

une agic:nion v1oleme des eíprics

deshumcurs

dans le cerveau n1Cme , en force qu'il íemble au

malade qne rouc rourne autour de lui,

c~te

mC–

fon corps , auffi-bien que mutes les choíes

qui fom devam lui, quoique ces chafes íoiem fia–

bles

murnem poim.

trois degrés de

Venigc; le premier, c¡ua.nd le corps feulemcm