T .AM
el'\ daní:ant leurs Sarab3.des. .
.
,
T 1tmbo1tr,
en rcrmes
d"
Arclmcll~r~ , ~
dtt d
une
avance de
ma~onneric
cu de mcnu1fcnc daos un
b9.ümcncoll lºon veuc fairc unedoublc porte commc
l'on en voit dans les Eglifcs , afin
d'emp~chcr
le
vcm. On appelle auffi
!°""'b:11r.,
Une afhfe ron–
de: de picrre fclon íon In de carnere , ou une h::i:u–
teur de mo.rbrc, dom pluíieurs formcm le
fuR:
d'u...
~endº~~~~:;,:re f;~~1~
1
J~ ;::,~:crfº,
~1:~~1~1
;~~~~
re plcinc ou pcrcée , dom
en
compofé le
noy:i.ud'u1\
cfcalicr:i
vi~.
Taus les Jcux ele paumc de dcdans onc leur
TAmboHr.
C'cft une av:mce de la muuille qui eíl:
vcrs le jeu; elle
faic
un angle forc obliq1.1e,
&
c:iufe
une cercaine réfféxion de la baile , trCs-difficile
:i
JºgQ~clques·uns
appcllenr
TamboHr,dans
une mon–
t.re, le 8:1.rillec qm enferme le rdlOn.
C'cíl:
une
roue
(ur
laqucllc:
(e
rou!c: la chainc qui
(ere
i
mon–
tcr la monuc.
r
a;,,baNl',(e
ditcncorcd'une m2chine ronde
com·
:~;;~~::~d~'d~~~ffitnisf{~~~ ~ouuec;;rÍo~~~uy~~~
te
la main.
11
y
a
des rcglets
Cut
ce t:lmbour, co1r¡me
il
y en a fur un p•ter de mulique.
Des
pofntes de
?.1~i.~~!iJ?::1;, c~u~fi~'¡5~:,º\~'r~:c~~~~~«"~
rr
lftnhDHr,
en termes
de
Medcciñe, ligniflc une
mcmbranc uCs.forte
&
rranfparcncc, qui cc:m1ine
Ja
cavité cxtcríc:urc dcl'oreille . qu'on appellc
CDn·
'Jllt.
Ccue mcmbnne cíl: attachéc: dans une fcuillu·
~~lcqÍ~r~~ciu~
3
pf~~r:~cl~~~c:i~~co~up~~~c;~ir
0
,fl!~~;
le fond de cem: cavicé , fans quoi clic :mroit pU
~~~ ;::~~,1~~0:;~ ~~1l~or;l~:r~"?u;~fi;¡~ ~er/~~~:
cement. Ceux
qni
en n:aiíl"ant ont cene membra–
be épai<re ,
fonc
des fourds incurables.
Le
cercle
'OlTeux oi'1clic eíl: cnchaflCc, eíl: échancré
i
fa
panie
fupcrieure.
On appelle , en termes de Marine ,
r
ambDHrs
J't'pu Dn
,
Plufieurs planches que l'on clouc fur
les jaurerc:aux de l'éperon , & dont l'nfag'e
d't
de rompre les coups de mc:r qui donnent fur cene
partie.
'r
AMBOURE-CISSA.
(.
m. Arbce de l"JOe de Ma–
dagaícar, qui pone 'dc:S pommcs qui s'ouvrc:nt c:n
fl:~i~r~Kª;te~~~º~i"~~~~~sn:~~i~;~~~s~a~h:~~~~r~~
d'une peau tendre orangCe qui donne une teintu–
re parcille
i
cclle du fruit de l'Amerique
l
appcllé
R óHCOU.
TAMDUSTEIS.
í.
m. Vieux mor. Bruic.
TAMIS.
f. m. Vaiíreau rond 2u milicu duqucl il
y
a un tilfu de roile , de crin ou de foye , par lcqucl
on pa.ffe des drogues pulvc:rifées , ou que l'on veut
épurcr pour et\ rc:tirc:r le plus délié. Lc:s Parfumeurs
fe Íervent de Tamis pour pafl'er leurs poudrcs. Ce
:~,:;/clon
M.
Ménage
l
vient du has BrCton
T.a·
~es
Orc_aniíl:es appellem
T amis
>
Une piece de
boas percéequi fcn
a
renir en ér:u les tuy:tui: de l'or–
.
~~~o~~s
ruyaux paCfcnt au cravers de CC[te piece
'rAMISAlLLE. f.
f.
Tenue de Marine. PC[ÍC étioc
qui
eíl
d.
une
AUle
emre
la
grande chambn:
&
~~l~~a~~
Capicaine.
C'dl:
oU parre 12 barre du gou-
TAMOUATA. f.
m.
Nomque lc:sSauvagcsdllBrefil
donnenr
i
un poifiOn
1011g
d'un palme
~
plu¡
r,,,,,
"~
pcrit que nos harenes. Sa rCce en monfirueníe en
groCICur pourJa PeriteCIC de fon corps. 11
a
dcu.x na·
geoircs fous les oreilles,
&
les dcnts plusaigues
que cdles de nos
bro~ets
,
&
depuis
la
tCte
JUÍ–
qu'au bout de
fa
queue
il
eíl am1é O'éc2illes
ti
du-
~~airq~~ PJ~;:
1
Ío~~"¡;~~n~~¿~~r~v~cl~;;~r.~e~u~
TlfmDHl1tt1a.
TAMPON.
f.
m.
BDuchDn, fnDrceau Jt bDis firvant.
J
bDHChtrHn IH)lflt,
Sin
muid> llnt CrNCht,DU
lJ"'''fU~
amrt foru dt 11afi.
A
e
A
o.
FR.
Les Grnveurs e11
cuivrc ont un Tampon de fcmrc ou de lilicre de
drap nl.)Írci ,
&
ils s'en fervcnt pour froner leur
planche
lk
rc:~plir
les
uairs
i
mefure qu'ils gra–
Venr.
Les lmprimcurs en raillcdouce appellcmTam–
pbn,
Un morceau de linge corrillédont ils íe fcrvent
pour ancrcr 12 planche.
T Rmp011s,
en termesde Charpencier
&
de Menui.-
1'ier, íont des chevillcsde bois qu'tls mcnent dans
les
ruinurcs dts poteaux d'uné: cloifon, a6n d'en tc–
nir les panneaux de m:isonnerie
>
ou dans celles des
~!i;;::;\:n!e1d~c:ueii ~~rp~~i;;;ª~f;}~~~~r{~;~~~;
:mx Menuiliers i remplir les rrous desna:uds de bois
&.
3
cacher
les
clous
a
tCte perdue de·s l:ambris
8c
des parquch.
On appelle for 'mer
T ampDns declfhDn,
Despla–
'ques de lieges avec lcíquelles on bouche l'ame du
canon , o.fin
d'emp~cher
que l
'e.aun'y emre;
&
TRmpD>IS J't'cJibltrs ,
Cerraines
pic:ces de bois lon–
gucs
:i
pcu prC.s de deux piés
&
demi , qui vom
en
amenuifam,& dont l'ufage eíl:de fermcr
les é:u–
bicrs quand on eíl
i
l_:i voilc. 11
y
en
:i
d'échancré~
par uh c&té , qui boochcnt les écubicrs quand
IC$
'Cables
y
íont cncote.
~clquc:s·uns
difcm
T 11pans
á't'Cttbltrs.
••
rec~~i~f;~ ~nr:ir~ :~~~~~!e}r~~~t~.: ~:~f·~~~
tte ,
&
fcrr
:i
donncr le vcnr.
TAMPONNER. v. a. Boucher
avcc
un rampon.
On
dit en termes d'Arc'hicedurc,
Rulná
<fr
rampDn–
)ur,
pour dirc , Hachc:r des pote2ux de cloifon par
les cOtés , en
y
menant des chevilles de bois pour
renir les plirras •
&
la
ma~onnerie ,
doneon rcmplit
enfoite l'rncredeux des folives.
TAN.
Í.
m. Poudre d"<corce de jeune chene pilée
fon mcnu._, dont fe fervcnt les T:inncurs pour don.;
ncr au cuir la couleur
& b.
nourrimrc dont
il
a
be ...
foin.
N icot en parle et\ ces termes. Tan
tj}
'"
pD~·
~;;,:';;'f!'t:,,7;':};~,J~(l=bjl~;'t;;.t::;~%";:~:;
TDllt , fDHrnt'tpar
CDHT~nt
OU
chtHU J'eau, D#
J
f•rCe
dt cht'VAI DH dcbras, de l"'!utllcpa11ldre
lts
TnneNrs
CD#ldrtnt
c!r
tantnt
!ts
CHtl'J, tAnla11cD1tldro1rqu'tñ
l.c
/ Dffe
j
et
t¡H• les lfJfirmlfl, t11dHrc1ft,
&
wnll át la
coult11r
bl11fpbdjlrt
áont 1/s{ont A'Vllnt 9H'1lsp•ffent par
l..
mlfindu bauldrDJtlfr.
On faitvenir
T1tn deTan~
hHm ,
mot de la baCfe
Latinicé,
auffi-bic:n que
Ta11-
nart,
pourdireTahncr.
T ANCE.
f. f.
Vieux moc.
~erclle ,
débar•
N 'avait tAlent de mDHVDir
/Anee
,
.!R..!!,and H ellor
&
fa
campagmc
MifJr1m
ü
/cu m la na111e.
TA N C H E.
í.
f.
Poilfon de
lac
&
d'écang qui •la
chair :tfl'és ferme , inais
~ui
fc:m Íouvenr
b
bourbc,
:l
caufe qu'1l fe• nourm danS des eiut bourbeufes
&
donuantct. La Tanche:
U.reíur le Ven
&
fur le
-
l'pp
i¡