44z.
so
u
t
3
ins pecics corps fon agicés qui rcfrcmblcnc en
quelquc .fason
i
~es p
1
cmc~ ~arúcs
qui s'élcvent
~i[~c~~~~e~~d:~~f~~~~~!~a'
fe
¿~;n~C:c ;:~~
qltC
fi
l'on
rraníponc cescaux.
clld
pcrdcnt prcf–
quc auffi.c&t lcur vercu,
:l
moins que l'on n'ait
grand
foin
de bien bouchcr les vaiílCaux oU on les
renfcrmc.
Les Fomainicrs appellcnt
Sources,
pluficuTS ri-
é~~~é:~~º:~~;ce~~cd~l;~~
0
d
1
c ~a~:c~~º\~:~~
linnofüés
&
dctoursformcm daos un bofquct plan–
té
fans fymmetrie fur un teffain en pente , une ef–
pccede labyrinre d'c:iu, ayanr quclqucs jcrs aux
cndroirs oll elles fe croifent. Il
y
ade ces fones de
Conrees au jardin de Trianon.
.
SOURCLL
f.
m.
Le po•I
pi
efl en
mAniere
de
áe~í-
~;;~í1::rd:!~1 ~::~~;:; ,Ac~;c:in~~· ~;~;i;~t'
1
d~
carti~lage
qui fom aux
cm~olturcs ~e
quclques os.
Telle efr celle de l'os Iích1on, qm comprend la
tCte de l'os de la cuiríc¡.
'
On
appelle
Souretl,
en termes d'Archicclture,
Le
haut
de la porte qui poíe fur les piédroits. Oans
la
bafe de la colomne lonique, qui cft compoféc de
deux Aílragalcs,
il
y en a une qui touche le four–
cil ou la parnc d'en baur du crochileinferieur.
SOURD.
f.
m. Efpecc d'Aípic, le plus dangereux d<¡
rous.
11
eh: gris
&
femé de caches jauncs ,
il
a
-4·
jambcs
&
eílde
l:i.
forme
&
de: la groílCur d'un
l~zard V"crt ,
il
fait
perir
les
arbres aux piés duquel
11
fe crouve.
·
_ SOURD, souRDE. adj.
.fl..!!i
ne peHt ouir
,
p1t.r
le
vice, p1ir le dlfttutdtl'orgAne del'ouie.
A
e
A
o.
FR..
On dit en M:uhematique ,
R1t1{o11 faurdc .
qu'on
~!t)~~eJi~ ;:~~~~~~~~d~~~ag~a
0
n~~~~s'i!o!u;,,~~
fur1tble1
>
ou
irr1itionntlle1.
Voyez INCOMMEN–
SURABLES
lle
!RRAT!ONNEL. On appellcaufli
NombreJ faurd1,
ou
RJtcine1fourdt1,
les
RAcineJ
quarrécs , ou cubiques, ou quarré quarrées, &c.
des nombres qui ne font ni quarrés, ni cubiques,
niquarré-quarrés, &c. Voycz RACINE
&
QYAR-
RE'.
.
On appelle
Pierrt1 fouráe1
•
en termes de Jouail–
lier, des pierrcsqui n'ont pas tout' le brillanc que
doivenc a.voir les picrrcs parfaiccs , c'eíl-:i-dire. qui
ont des pailles , des glaces ou quelque chofe de
fombre
&
de brouillé qui en dimmue le prix.
On
appelleLttnttrne fauráe,
Une perite lanccrne
de fer blanc noirci ,qui n'a qu·unc ouvermrc qu'on
fcrme quand on ne veuc pas laiiICr appcrccvoir la
lumiere. Elle dl faite de telle maniere , que cclui
qui
la
pone pcuc voirquand il vcmfansC1re vft.
SOURDELINE.
(.f.
Sone de mufette fonagreable,
qui n'eflen ufage qu'cn Iralie. Q!t:me chalumcaux
(e~::!
1
~(
a
i:Sc~J~~i~~u:~tr:s
0
Íe~~~;s,
t
[~~~~~;
d1i
ferente de nos mufertcs. Ces boites s'avancenr ou
fe reculenr par de petics rdforu.
SOURDETE.
f.
f.
Vieux mot. Surclité. On adi1 auJ!i
Soflrdife.
SOURDINE.í.
f.
Sorte derrompette qui fait un bruir
íourd,
lk
dom on fe fcrr pour donner le lignal aux
gens de guerre quand on veut déloger fccreuement.
La Sourdine efi: faite d'un morceau de bois qu'on
poufIC d;in' le pavillon de la trompeue, pour en
affoiblir le fon en le bouch:mten p:mie.
So11>"dint,
parmi les Luúers , efl un infhnmenc
~~0Í::~fi;~~1!i~~1~rt~.;n~¡: ~~~~e~~f~c~iJ~l~u~~~.
l;7
fen fe¡¡lerRent pour jouec du luth ou du violon,
so u
d'une maniere fourde , en forre que Je fon en foit
forr peu emendu.
SoHrdme,
fe die auffi d'une pcuce
plaque d'argcm ou d'autre chofe, 'lue Í'on pite en
are, & qu'on mee íur le chevalet d'un infirumem,
afin d'empCcher qu'il ne 1efonne.
SOURDRE. v. n. Ce;nornelC ditpropremcmqu'en
parlant d'caux-,
&
veut dire , Sortlr <le terrc , de
quclque rocher , ou d'un -:mere endroit fcmblable.
On die en rcrmes de Mer
>
qu'Vn
N a111re fourd lfU.
'fJtnt
,
poul'dire >qu'il tient bien le vem,
&
qu'il
av.mcc
a
fa
ro
ure,en finglanri fix quans de vcnc
pr~sdu
rumb d
'oU.ilviene.
SOl!R~S.
f. m. Petit :tnimal :i quaere piés, qui
dl:
or...
...
dm.mement de couleur de cendre,
&
dom l"anci–
pachie
dl
nacurelle avec les chars ,
la
beleue
&
l'é~
pervier.
La
Souris a l'ouie fon Cubcile, vit de fro–
mem, de legumes
&:
de ch_air.
&
conge tour ce
~~·~,~~ ;~º~;~cr~~~~~ ~~':s:~;~ueetld~~1:ira~~~nf~~
;~ ;~:;~:~;:~~;cicu~ª;\r~li~~;;rgd~~i;~~b~~
qu'il fait
YOlf
en¡arlam d'une Souris rteine
J
qui
ayam éeé enfemlC·e dans un vaiffeau plc:m de millct,
d'oU
_elle
ni!
!;'llt
fonir_,
y
~ten
fort pcu de teinps
lix-vmgrs pemes Souns qui furcnr tomes trouvécs
quand on cut debouché le vaiílCau. Les tates rouf–
fes, qui
fom
lesSouris des champs ,
y
pcuplenr en
abondance,
&
fom un
fi
grand dég5.tde blesen
di–
vers licux , qu'elles mangcm quclquefois en une
nuit eoue le blé
d'un
champ qu'on ct1 prCt de moif–
fonncr. Elles meurem tomes en pcu de jours
fans
qu'on puilfc rendre ra!fon de
b
m:miere dom elles
meurcnc.
II
n'y a ricn qui en nectoie mieux tout
un
pays que les grandes pluycs. On tiene pour cerrain>
die Mauhiole , qu'uneSouris conc¡oie fans m:ile en
lcchanc du fcl ,
3.
quoi
il
aJoUte que cec animal eíl
ft
fertile, qu'en un cerrain licu de Perfe , on fcndic
une Souris plein_e , qui avoit d:rns fon vemre des
Souriccaux plcms :avant qu'il\ fuílCntnés. Les Sou–
í!~ ~;~rfoe~s~nr
le poil dur,
&
auf]i piquam que
SoHriJ.
Terme de Manege. Cattilagc
qui
efi
dans les nazeaux du chc:val,
&
qui
le conrraint de
fairc un certain reniRcmc:m. par le moyCn duqucl
il cl.che de fe débarraífc:rde ce c-amlage.
Les Mcdccins appellent
SoHriJ,
L'efp:ice qui dl:
daos lamain entre le poucc
&.
!'indice.
On die en termes de Fonification ,
Le
p1t1 de¡,_
Souri1.
C'efi: une petite retraice du parapet
de
la
muraille au deCfus du cordon.
qu~~ 3fa~te1~;i¿;~
d;f;;;;:
,&c;~t~~:; ~~~~!ur~
nom :i caufe qu.'elles rcríemblcnc aux dcncs
des
Souris.
.
SOURSOMMEAU.
(.
m. Efpecc dc"panier monié
íur des piés
~
renanc une quanrieé reglée de fruit.
V11fo11rfammetwdecerift1.
SOUS.
Prtpojirio11locale1uifirt imArquer llf jitua–
tion á'Hne chofe
J
/'égard J'1111e1tutreq11i ejlau
Je{–
[111.
AcAD. fn.. On dir en
term~s
de Manege,
Chewd
qui eft
bien
fou1 IHi
,
pour due, Un cheval
qui en chemin:mc :.tpproche fes piés de dorriere de
ceux de devane,
&
done lc:s épaules fom foutcnucs
en quelque maniere par les
hanch~.
Ainfi on die,
Mettre
1111
che1MI faHJ l11i
>pou.r due , Le meme
forleshanches.
SOUSAGE. {. rn. Terme de CoUrnmc. 11 fe die d'un
Mineur en Norm:mdie,
&
on le die en d"aucrcs
lieux d'un vieillard qui étant revenu en enfancc
a.
befoin d'un Curatt:ur.
SQUSPRIEUR. f. m. LesFureücrillesdifencqucíon
emploi parclculicrcíl: 5l'avoir foio des
Novi~cs ,
&