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ctHxt¡11icombAltoit11t
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chn.1t1l,11n cbtval,911i to111
efloitnt 11pprlltL
Auél:c:>raci,.
&
fA~ tr~íll
dt
temps
Aprts f11re11t
diti
Mamculan
&
Sohd:m.
LeFran-
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foiJ fapprlle
11Hj/i
Soudoyer.
L 'fflf/;tndit
Soldaro,
ér
r
Efj1tgnol
Soldado •
mais ltFrm1pi1 nepent bon–
ntmtnt dire
Soldar,ifam
itAlitnniftr,
011
tfplfgnobftr,
dr9110J iln'te lfHCHnt contrainre, .veu qu'ilA les dtHX
dr/[Nfdiu
,
&
1!111
bt1t11x
&
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fe1int1
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fr–
d'1
Soldad.
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~u~~~¡f;s ~n~
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en Arabe. On en tire un
[el
lcxivial
{c"i
cíl: le plus
~~l~~~:ed~~ºI!::~1f~
1
i,;:~~~~rl~
3
~t~
h;rb:r
;x~
pelléc
Soudt
ou
Kali,
croí'r en E.gypcc :mx bordsS..u
Nil,ffeuvc
iempli
de nirre. Elle cR d'une favcur m–
ue.ufo,&. on
cnrrouveauffiquó\mitéauprCs
des Sa–
lines de Triefti,
&
en Langucdoc proche de: la mc:r.
¡~~c:cr:!e~c:~~~:
d:
fu~~jd~~~r~:So~d~c~~i~~r;~~
~;;cfc:~~:ª~ªfo:~~n!~·,~~;:e~~¡1,~~~~¡rc:~lt~~icº¡~
~:!eª~:C:~~~e:~~:?;~~~K~~r~r~~~:~ ~r~!c~~~
c1uand
,cm
crachc: deffus ,
&
qu'on l'approche du
nés , elle ne: feme poinc un goU.c de mc:r ou de ma–
récage. On doic préfcrer celle
qui
efl
en pc:cite
picrrc de la grofiCur des cailloux, 2 celle qui cften
~f:r~c!eief:;v~~:~~~r~~~~~c11;~~~~sSo~~ses~~~;¡:
Cal) ,
pour en cirer le fel qlt'ils fonc encrer dans la
compoíicion du favon blanc
&
marbré , m;iislaplus
gr:inde quancicé de Soude quiviem d'Efpagnc:, eíl:
vcndue aux blanchifiCufcs qui s'en fcrvc:nc dans
lcurs leffivcs.
11
y aune
SoHde de C4rragme,
qui c:rt
moins blcue
&
a plus de croUcc que ccllc: d'Alican.
~~~~~~~~l~nq~~';:a~lu:u~~:~Je~e ;~:r;;:~K~s;_
ciercmcnc
a
rc:jc:ctcr. EFic
en
ordinaircmem hwnidc ,
noi13.rrc. verditre,
&
for;:
puamc. la Soudc de
Chcrbourg. appelléc
Soude de f/•ru9,
n'cfl gnere
meilleurc. Elle fe
fait
d'une herbc qui fe trouve le
long des cOtcs de lamer de Norm:mdic,
&
a l'o–
deur
&
b.
couleurde ccllc de Bourdc.
SOUDER.
v. a.
Lier de1p1ecu demErale11ftmblep1tr
le mo;m de l'Eraim ou
Ju
CH1vre.
Ae
AD. FR.
Les
Scrruriersfoudcnt deux morceaux de fer en les mcc–
tam dans le feu juíqu':l ce qu'ils foient tous blancs
&
comme dégoU.rans ,
ªP!Cs
quoi ils les joigaenc
l'uncontrel'aucrc, n'cn fa1fanc qu'un dcsdeux avcc
le m:meau. On foude le: plomb avec de la foudu ..
re: foitc de plombOll d'éraim ,
&
on foude auíli le
cuivre avcc de l'étaim,
&
quc:lquc:fois avcc un mC:–
b.nge de cuivre
&
d'argcnc íelon que l'ouvrage eft
délicac.
SOUD!ACRE. í. m. Minillrec¡uicllpromüau
f.~e~~f.r I~;~é~:~r~;s(~~~ec:~c~ &uJ~e~~~(f~~~~~a~
crés , le patn
&
le vin necdfaircs r.onr le Sacrificc ,
verfc de l'eau au PrCtrc loríqu'1l lave les mains
~f~~~~ºf~~ceMe~e
1
;:~,te
0
1~ªrii~:;: ~~?~~:~~~
l'Epitrc.
¡ou
D!V ANT. adj. Vieux mor. Séduiíanr, íé-
duéteur.
M01tt
fut foutí1
&
{oNdivaHJ
6mllem ch4pNiJ
&
bon fTllAnJ
.!!(¿1i In blanc1 chaperoru rro11114.
SOUDURE.
(.
f. MClange fait de <lcux livres de
plomb
&
d'une livre d"éraim .ce qui le fait appeller
S1mJ11re 1'11 l1tr.t.
On s'cn Íert
a
JOindre les table,
sou
}a:J}~~
1
~n°~~~ ~~:C~r~~ {o~~~~/::;,"~a:"u!~;
en maniere d'arCre de poilfon. O!!and elle cft plus
étroitc, n'ayanc d'amrc: íaillie que fon arrCcc. clic
eíl: appclléc
SoudHre plide.
Par
So11d11re u1m11pn–
nerie,
on emcnd le p\3.cre ferré , done on raccor–
de dcux enduits qui n'onc
pll
Ctrc
faiu
en
mC..
me-tems fur quclque mur ou fur quelque lam...
bris.
SOUFAlSTE. f. m. Terme
dº
Architeéhlre. Piecedc
bois au-de!lOus du faite, liée par des entrctoifcs,des
liernes
&
des croix de
faint
Anciré.
SOUFFLAGE.
(.
m.
Tcrme de Marine. Rc:nforcc–
menc de pbnchcs qu'on donne
a
quc:lque Vaif–
ícan. On appellc
So11jJllfge vif,
qmmd
on
fouffcfur
les membres du VaiRCau , au licu de fouffier fue le
bordage.
SOUFFLE.R.
v. n.
Faire
Ju
11011
e11 poHjfa,,r fair
par[• boHche avec force.
A
e
AD. FR.
Nicod remar..
que
fur
ce mot qu'on s'cn ferc quc:lquefois
:l
l'im–
peratif , quancl on veut fairc encendre que ce que
fc~e~~~~~ll~sd/~r~~cuf:~~:i;i;c~g~.;ft~ d'!t~~ ,t:~~~
me 1111md 911el91/H,, a TlfContl't¡11el'111e nOtJvelle E-
1r11nge,
·ou
promer
&
fa
va11re de faire911el911e chofe
oHlrefa1 mo;uu
,
on
ÍHi
refpond en voi.-rejlevl'
&
pAr
dlrifton
,
Souffic:z,
comrm
.ft
on IHi difoir t¡He
ce
tpt'il
a
dit
&
promiJ nefont 9ue f1tbln. LA jignijicarion
ér
ufage procede,
ce
famble, de1 B111tele11r1, le/911el1
"lª"'
fair ftmblant de
w.
utn tn la main911elqHe11oix
degalle ou autre chofe, fe prefl11rmt 4qHel911'H11t¡q_i
leur efl
J
f enviro11
,
l11i dtj4nt,
Soufilcz en mon
poing,
ér
11prt1 9u'il
J
11
foHjJlt'. le r'1Hvranr
il
ne
1) rro11ve rien deda111.
On
dit en termes de Manege, que
L1t
ma1iere
tt
fauj/ll'
Hn poi/,
pour dire, qu'Un chcval ayanc
une encloucure qu'on n'a pas onvcne par- en bas,
la
maciere
a
coulé entre
la
corne
&
le petir pié,
&
qu' Elle a gagné le poil étant moncée au deflUs
du íaboc, en Corte qu'clle paroit
:i
la couronnc:.
On dit auíli que
La
~hair
fi11.ffle for
la
f0Hrcl1uu,
quand une excrc:fcencc de chair vimc fur
la.
four–
chene ou
a
cOté , ce qui
fait
que
la
fourchcuc
pouífe comme une ceriíe de chair qui rend le che–
v:a.1 boiceux.
On cmploic auffi ce mot :l l
'aét.if,
&
on dir en
termes de Palais,
So11Jfler
1111
E:rploit,
pour dire ,
Fairc paroitre qu'un exploic a été donné
>
quoiqu'il
n'aic poinc été donné dFeélivemcnr aux partics ni
a
leurs perfonncs ' ni
a
lcur domicile
J
ni
:i
cclui
de lcurs Procurcurs.
Ondit cnccrmesdcChalfe ,
~'Vnchienfo11f
...
fte le poi/
,1
11n lievre,
pour dirc, qu'll cíl: rout prCc
de J'amapcr.
On die en termes
de-
Marine,
Souffler u11 Vaif–
foa11,
pour dire, Rcnforccr le bordagc d'un Vaif–
feau, en le revC:cant de fortcs
&
nouvclles plan–
ches, afin qu'il pniRC micux rdiíl:er au canon
&
aux
coups de mer. Cela fe faic d'ordinairc aux Vai(–
fe,mx de gucrre , quand ils ne portene
p~s
bien
leurs voilcs,
&
qu'i/s roulenc
&
fe courmcntenc
rrop
a
la mcr.
60UFfLET. f. m. Sorre d'lnftrumcncqui Ícrr
:l
fouf–
flet
&
a
allumer le fcu , en auirant le vcnt
&
le comprimaut
1
enfuitc
P?ltr
le faire forti r avec
violencc par un crou Ccro1r. Les íouffic:cs des for..
ges de fer fe mc:uvem par des moulins. Les
So11f–
JletJ d'org11e,
font
de~
tníl:rumens qui donnenc le
vent
:l
l'orguc
&
l::t font padcr, quand on les foic
aller
&
qu'on touche les cl:ivicrs.
ti
fauc quam;
fouffiets pour fournir le vcnt
a
une orguc:: de fe!–
ze piés ,
&
úx quaRd il
y
a un pofüif. Jls
Oo1-