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OBI

OB[

en recre. Ce mot viene dµ Grcc

•:o.~,,

Broche ;

:i

cauíc du rapport qu';i J'Obelifque avec cene forre

de brochedom

Ce

(crvoiem les PrCrrcs Paycns druts

Jeursfacrifices.

·

ra~~~~lPj!~rO~t!fJ~;º~~

e::

'q~:c:~

1

Í.~~~~.d~~~~

par le moyen de n-apcs d'cau qui fom

a

d1vcrs

é–

caocs, le nud des faces paroit d'un criíl:al liquide.

ODE

0

SITE'.

(.f.

Terme de Medccine. Eratd'unc per...

fonne , quand la graiífe lui furcic

&

cncrouíl:e les

membr:mes des panies ,

&

fur rour celles de def–

fous

la

peau. L'Obcfüé viem d'un

fong

louable.&:

grailfcux qui s'engendrant en plus grande qu:mmc

qu'il ne

fe

confume ,

Ce

~iíl:ribuc

aux p:mies,

&

s'y

auach.e en quelque maniere. Le défaurd'agication

ou d'cxcrcicc , ledormir croplong

&

lc:s alimensde

bon fue ou en rrop grandequantité difpofem

:i.

1'0-

~e~~éq~rr~~Jf~c;o'r~s~:asc~n1~i~:r~nc~~{i~~

1

:n~~

que

b maflC

eíl: forc cc::mpecée

&

peu faline. Ainfi

elle íouffre peude dechet

,:l

caufeque le chyle n'elt

pas afICs cOc changé en fang. AlLComraire , le

fang

-a

moicié laic , gonffé do beaucoup de chyle , écanc

pareé aux p•mics , les endnic de ce

fue

chyleux

temperé , qui écant :iheré fuivam

la

diverfité des

parues les diílend jufqu':l. une groffCur prodigieuíe.

On

:i plufieurs cxcmp:cs depcrfonnes ctouffées par

Je crop de

coq~ulci:icc

.'

t;C:

qui

vi~n~

de ce que le

~:~~~~;:0~~~

1

~T~r;:~;c ~~

1

;º~;~cf~:c~rt~/n~~~

mouvemens fe faifant par le racoucilfemcnt des

libres des mufdes ,

ti

taus

les

efpaces d'encre !es

mufdes fom

{i

forcis de

fue

noumcicr que le mur–

cie

ne puifíe retomber Cur lui mCme,il

fuuc

neceffaj..

rememque le mouvement de coDU'aélion desfibres

foit arrCcé,

&

par confequent celui du nombrequi

Jeur eíl auaché. Panarollus p:ule d'une femme,

:i

laquelle il defccndoit plusde treme livrcs de graif–

fc du vcmre fur les genoux.

Obejitl,

viene du

La.–

ti.o

Obefin,

Gras.

O .B I

O BICE',

?'E

adj. Vieux mot. Oppofé.

OBJECTIF. odj. On •ppellc

Var< objeEl;f,

en ter•

mes d'Oprique,

Le

verre qu'on mee au bont des

:grandes lunerres ,

&

qui

re~oic

immcdiarc:ment les

rayons de l'objet.

OBlER.

f. m. Arbre durqui refíemble au Comouil..

::ir!;~~ ;1~~Í~n~~nº¿rr.~ne~n ~:rtS;s ~~Ica~;.es

O

BIT

UAlRE.

:idj. On :i.ppcllc

RegiflreObit11aire,

Un

Rcgi{hc oU l'on éctit les noms des mores ,

&

le jour

qu'ils ont été inhumés.

ll

fe die auffi du livre oU

l'on écrit la fond:nion des obics. Ce

mee

viene du

Latin

Obire,

Mourir.

O BITU

AIRE.{.

m.

Celui qui

dl:

pourvU

d'un

Bcnc–

fice vacanc .par more.

OBL

OBLAT.

í.

m,

On

appclloic ainfi :umcfois un En–

fam qu'on offroir

:l

Dicu pour erre Rcligieux dans

une Abb:iye , du Lacin

Ob

!at.us

,

Offerc. Ces En–

fans , quoiquc forc fouvem plus engagés par

la

~~~~r~ºn~ :~;~~~~!e;;~rl~~:~~a

1

r~

0

,r ~·i~f~~i~~oie~~

leursMonaíl:cres..On :i cncorcappcllé

Oblats

,ceux

que l'on nommott :iuíli

Devo11és.

C'éroient des

gens , qui

fe

donnoienc emieremem

:l

un Monaílc–

rc , cux , leur famille

&

leurs

bien~

, en force qu'ils

y

cnttoicn.t dans une maniere: de fcrvitude.

L1

foc-

Tome

/I.

O BO OBS

me qu'on obfcrvoic pour les recevoir

1,

ét~it

prendre

la

corde d'unc des Cloches de

1

Eghfc

&

de

b

lc11r

mctcrc:

autour du col. On

a

die

clepuis

Oblat

,

pour fignifier

un

Moine

lai

qu(: le Roi

mcnoir en chaque

Abba.yc

ou Pricuré de fa nomi–

n:ltion , auquel ]es Roligicu-x donnoicrnc une por-

~~~¡~;;:i~h;~~dr~l:l~~~·~~c~; ¿~~\~~~~s(~~~t:~~

dCílinées

:l

des

Soldats cftropiés, ou trop vicux pour

pouvoir encore fervir; Cene portion , qni

fe

con–

verüffoic en argent, fue d'abord taxée

i

foix:ance

~i~~bfa~~s

d~~~is~'é~:~JiJe~~~~ccid~l;~~~~~J~:

lnvalidcs, y onc été uansfcrés avec lcurs pcn–

Ítons.

OBLIAL.

(.

m.

Vieux mot. Rente annuclle fclon

Ja

CoUrume de Bazadois ,

:i

ce que rapporce Borcl.

Vn homme pre,,d en oblial un hoftal.

OBLIQYE. adj. de rout genre. Tcrme de Gcomecrie.

n'cíl: pa.s

:l

plomb ¡ qui

ne faic

pas des :mglcs

droits,

L1g11e oblu:¡ue

s'oppofc

:i

ligneperpenáic11/mre.

T

otile li.i;ne droite qui eíl: oblique fur une

aune

fait un :ingle obtus d'un cOclÍ

&

de l'aucre

un ai–

gu. La perpcndiculaire

ep

fait deux droits égaux.

~~ :!:~c::hereoblit]He,

A{cenfion obliq1te.

VoyeL

OBO

ODOL!i. f.

f.

Monnoic de cnivre, quequclqucs-uns

fonc

valoir

la

moicié d'un dcnier ,

&

les anucs

un

quan de denier. Selon Nicod , l'Obolc commune

valoit fepc dcnicrs tournois. Sclon Galand , au

T

rai–

du

franc-Alleu , on étoic obligé de donner rous

· les ans une Obole d'or

:l

J'Abbé de Moiífac ,

le

jour de la.

fCce de

faint

Pierre , ce qui fait voir

qu'il y a cu des Oboles d'or.

11

y

en avoic auffid'ar..

gc-m

qui

étoicmdu poids d'un dcnier quinze grains.

Borcl dérive ce mot du Grec

c:1>.-r ,

Broche,

:i

cau...

fe que cccre monnoie étoic longue

&

écroire

com~

me une aiguilJe.

Oh.ole,

en termes de Medccine ,

fi~nific

un poids.

de d1x grainsou demi fcrupule. C'efi la úxiémepar'"'¡

tic

d'une draclune oud'un gros.

O B S

O BSCURE.R.

v.

a. Vicux mot. Obfcurcir.

OBSERVANTIN.

f.

m.Religieux Cordelier de l'Ob•

fervance. Les Flircticriílcs difem qu'un Religieux ,,

qui

manque

Q.

l'obfervarionde

fa

Regle peche mor–

tellem¡m. Cela n'eíl: pas vr:li , il fecoir bien mal-

~~~~:u;e:~:;~x(:~rufeª~~~l~r

;¡~ef

f!~~a~~~~ ~~~=

ge fous peché morcel

:

ainG il

fo.uc

Ccrc bien hardi

pour fe faire Cordelicr.

g:~:g:g~A~ ~-.~~:~\1:.TiJ~~g~u~en~~lc:n

ufage

qu'cn ceue phrnfr ,

CoHronne Objidio111f/e

,

pouc

fignificr une force de couronnc done les Rom:Uns

honoroienc les Gcneraux qui avoicm comraint

Jeurs cnnemis

:l

lever le fiege formé devane une

de lcurs Villes. Cctte Couronne fe foifoir des her...

bes qui fe crouvoicm fur le n::rrein , ce

qui

la.

fal-

~~tr~:.ffiO~~!~':teG:a~;:~ecÍud~ert~ci~a~~a~~;,~

deu ,

Allicgcr.

OBSTRUCTION.

f.

f.

Tecmc de Medecine.

E.n.

pCchcmenc qui fe rencontl'Cau paífage des humeurs

~:~s~~dceºr:f:s~e~u~~~~~~t~ ;:¡e;'~b~~~~i~~~~~;

les vifccres. ¡Horfl:ius die qu'on amibueQ.¡j3ucouP.