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n.:z.

~:fimaffi(.~fim~fü@fiffi~üfil:üffi:ffiil:aN:~

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ici

t."W~~~~

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P.HW.

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-0

OBE

~~~~~

Adv. Vieux mor. Maintcnant,

dcformais.

Plus n'e,,ferai,mentio11.

fe crouve auffi fon fou–

vcnr dans

figmficacion

d'avec.

Devousmettreen prifon

•ÍJ

~iA.veLlecaurftjoli.

OBE

O BEDIENCIER.

m. Rcligcux , qui p3r l'ordre de

fon Superieur deffert un Bcn!=ficc done il n'ell- point

rirulairc.

OBEDIENCIEL ,

nu.

adj. Tcrmc dogmariquc. 11

fe dir de ce qui obéú aux caufcs

íupeneu~cs A~nli

~~¡!lPr~~~v~d;fn~"~~$

t:¡~r~

:;~equi~~df:fcº~~'~;

-aux caufes qui les produifenr.

O BErE.

Vieux mot. Obé'iffance.

OBEIR.

v. n.

Se foumettre d la

volontl,

aux

ordr~J

de quelqu'un

les executer.

AcAo. Fa. On dLt

:a~;r~~;:~a~=~~g;:xq~~~~ ~h;::f~t~·~~~;1ª1~:

connoir

qu'il

répond,& on die,

qu•Jt

obtít11Hx

¿'perons,

pour.dire , qu'il les fuir.

OBELISQ!JE.

Efpe<e de Pramide trroite

longue,

'!"'

efl d'ordittAirtd'Httt ftulep;erre,

ér

qu'on

mu en place pour ftr1Jir d'or11tmmt pub/,,;.

AcAo.

Fn.. LC$ Obelifqucs íonc des colomnes quarrécs

finiCfanc en poime , qui de rous cOtés fonr rcm–

'plies de carallercs hieroglyphiques. Les PrCtres

!~Jfeº~;r1s

~,~~f:!~º~~n~Yt;~:~:.g:ar~:c~Ít;;~~u~

res fur la tcrre. L'invenrion en dl: dile aux prem1ers

Rois d'Egypcc , qui ont cous porcé Je nom de

Pharaon,

c'eft e.e qui a fait que les Acabes les

onc apf?cllés

Meffelets PhRraon,

ce qui veur dire,

Les A1guillcs de Pharaon. Ce fue le Roi Manufb.r

ou Seignenr de Memphis, qui

fit

dreílCr le premicr

fo~~l:(t:~Frl~

• :C

~~·a~~r!ªp~i~:~::i t~ c::1c~~~~:

en 6renc drdl"er douze dans la Villc d'Heliopolis.

Onen voit encare an prCs des ruines de cene Villc,

qui dl: au milicu d'un grand refervoir

tout cnri-

~~i ;;~,~~~~~~~ ~:l~~~f~kp~~~~~·q~·71 ro:~d~r:e~~

de l'érellion du Roi Sothis , qu'on fc¡aic avoir écé

uavaillés avec plus d'arr. On le ricnt pounant un

des huic que Phne die avoir été érigés dans

Villc

du Solcil , chacun de quarance-huit coudées de

~:~.:

~~;,~; x~~;:ic:~ ~~r ~u~,\r1~/;; :r~~~~~s~

Ro1 Marres ou V;'\fres en

fic

dreífer un tout nu l'an

2.03·1.

Clui fut traníporré

Rome

plac~

<l:ins le

~¿ª:~~f1~J:tP

;1~r~;::m

·~::r;~~.~~rclª~~~~~~~

d.ans le temple d'Arfinoé >un grand Obelifqne que

OBE

le Roi Neél:abanus avoir fair éríger

MCmphis,

vers l'an Hºº· On en verroir davancage

Romc

les Empcreurs Romains les faifoicnti poner d'E–

gyptc,

Carobyfcs, lorfqu'il s"cmpara de ce Royau–

me, n'ellt dérruit tous ccux qu'il

put

rcncomrer,

:~~~~~le:"céa;:~~;;;r~~~~

gry~~i~~cC:tq~:'i·o~x;

voyoit. L<1 collrumc d'élever des obclifques étoit

íi

gepcrale

c:n

E:gypte , par le grand

zelc:

qu'a–

voienr les Egypncns pour leculee du Soleil auqucl

ils .les confacroic:nc , qu'il

avoit

auffi

des PrC–

rrcs

d'aucrcs períonnes conlidcrables qui en fai–

foienr érigcr

les uns de trence, les autrcs de fvi–

xancc

dix

piés de haut ,

d'amres de cene

~~1:c~~~~an~¡ ~:fcicº~~b1~f1te~~~:e~~~~~~~

:!~~:

quatre c8c1s de ccux qu'érigcoienr les PrCcres , il

a.voir des emblCmes

des caraékrcs hierogly–

phaques qui marquoic:m de grands récrcrs ,

beaucou~

de mill:eres divins éroiem contcnus. Leui:

,ti~c:pr~º/~u~"aºuffi~~~Jdºt r~:P~~e~~:??!¡~=

mane nommé par les Grc::cs

"'"';''"'r ,

par les Lacin9

Lapu TbtblfnH-s

par les Italicns

Granito rolfo.

~~l~~r~~eb,l:ª,rJ~ect:n~~é,1?g~of~:c~clJ~ª;~ri:

taches de crilhl , figuroit l'all:ion du Soleil Cur les

qu:are élcmens, felon les Egypriens,qui admiroicnt

;~rn;:';~~l~u~~~c~ri~r~l~t1~:~1~:r~~rb\~~~~Ía

t~·~~

par le noir. La carriere en étott prCs de la Ville de

Thcbes

des monragnes qui s'écendenr vers le

Midi

l'Erhiopie jufqu'aux cacaraél:cs

dlt

N1I,

quand on crouvedesObehfqucs d'un aucre marl:>re:o

il ya fujcr de croirc qu'ils ne fom pas de la fac¡.on

des Egyptiens, ou du moins qu'ils ne les ont éle–

vé1 qu':iprCs que Cambyfes

Cut

banni les PrCtres.

Tel. éto1t celui qu'Hcliogabale

fit

rranfporccr de

Syne

Rome

un aucrc que les Phcnicitns, a-

;i~it~~: c,:n~~~~~~

~~~c~~ufcl~º.º¡t~i[~;1'f~r~rÍ~~=

remes des Obc!ifquc:s des Egypriens. Pour cirerdcs

de~~fsc~~J~~nf~~b~~J~~~fi1é

~1Í~~?~~icNui~ ,foq~~

étoicm deux Vaiífcaux prCrs , chargés d'aucam de::

pierres qu'il en falloit pour fairc deux fois

pcCin–

reur de cec Obelifque. AprCs cela. on les conden–

foit auachés enfemble au ddfous de l'Obclifque

que l'on vouloir rirer de la mine. Cec Obelifq ue

éroit fufpcndu des dcux cOtésdu foílC ,

en dé–

chargeanc

iníenfiblcmet~t

les pierres , jufqu':l ce

qu'ellcs futfcm en équihbre avec l'Obelif,¡ue, on

Je rraníponoic de ceue force du

foífé

dans le Nil

du Nil au lieu oll l'on dcvoir l'élever. II

avoic

amrcfois .prCs de l'ancicn Prtlais d'Alcxandrie dcux

Obclifquc::s longs de cene piés ,

l:irgcs de huir

tour d'une piece , raillés d'un marbre Thcbain ,

jaípé de plulieurs coulcurs. L'un eíl:

g3.cé

l'au–

r.re

qui eft

dcmeu.ré

cncier, eft cnfoncé bien avant