' ,
( 4)9 )
tion 'est commune
a1~x
deux sy.stem·es .; mais
j'e
réponds
qu'
elle esf .plw, forte dans le
sien~
-
parce qu'en simple tegle d'aritht:;11étique , des
<liv;~sions
plus
.fones
donneront des fractions
_plus - considérables
».
>>
Je dis eneore , que dans mon systeme
~
l'égalité de département devant .rétre fondée
sur
fa..
combinaison de plusieurs données ,
. les fractions seront beaucóup plus faciles
a'
éviter .que dans son
~ysteme
, qui · n"admet
qu'une seule donnée d'égalité
».
~' A~tre
objection de
M.
Thoure(
En admet-
·
tant la population pour base, il sera . nécessaire
de resserrer ou d' étendre les
liúzites d-e chaque
département
,
toutes
l~s
fois que .leur population
changera
;
te
qui
s~roit
intolérable
».
>>
Ne vaudroit-il pas mieux s'exp<?,ser
a
changer
la
division du département
~
lorsque
la
dirférence dans leur population seroit
re–
marquable· , que d'établir des départemens
sans
poptilation
?
».
•
, >>
M.
Thouret se
fai:r .
dans son plan tout,
le
mal qu'il craint dans
celui
des autres ;
il
. s'embarr;:l!;;Sc fort peu que ses dép2rtemens
soient peuplés ' · et
a
s'inguiete beaucoup
de
ce que dans
mon
systeme , la
populatiou
pourra cesser d'etr.é
éga~e
"·
'
,.
.,