rzeure u
les communautés
des
villes et des vil–
~g.es}>.
»
Je réponds
a
M.
Thouret : Vou1 ez-vous
parler .des assemblées
d~élection,
ou de cell es ,
d'admtnistration
?
S'il s'agit _des premieres ,
vous ne prouverez pas fac;ilement qu'il faille
des intermédiaires entre la volonté des pre_-.–
miers mandans et le corps législatif. N
~
-v-011-
lez-vous parler que des,
a.sse~blées
d'aminis–
tratíon
?
J.
e conviendrai
1
que
si
l'
on admet
1
_
-
r
quatre-vingt assemblées principales, les sous -..
divisions
serQnt 11écessair€s ; mais
si
l'on éta.o
b_lit
~~~t
ving-t départeme'rts , je regarde
l~s
sous-divisions cómme
inutiles,
et ,je l'ai
(lé....·
mo.ntré
». ·
)>
M.
Thout~t
ajoute
que ses
c01nmettans
i'ont chafgé de
·
dúnander la conserv11.tion des
a5sembiées
seco~dains
,
que
la
Nermandie
en a
·
..reútt
·des :avantages
;
et que
si
t~n
n'ad;¡"Zettoit
f,Ue
c~nt-vingt
départemens
,
san'S aítcttne·
-.sous...,,
divi.sion,
le
r-essort
moyen
auroit enviton neuf
cent
:communautés,
ce.: qai
1
fenwero'Ít cettt!Ínem-e
1
nt ·
un"e
tfop
grande
efendue
)),
· >)
Je
~éponds
·
que
nous ne pouvons
pas
écouter
le
mand~at·
·d'úne
province plutot
que
celui
de tout autre ;
'qüe
la
Nortnandie
r·eti.. ·
' r-era
plus
d'éivantages
de dix grandes assem-
Tonze
JI.
Gg
1
/