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[ 470

J

'S6anu

du

1

8.

L'assemblé~

s'occtipoit

a

fixer les bases

de

Ja

. ~~pr~sentation

nationale.

L'artide mis

a

la discassion étoit celui-ci

=

'>

Les électeurs dé ckaque assemblée de

déparÚ~

ment'

C~Oisiront

les dé¡JUtéS

a

f

assemblée

natiO'-

I

~aü

parmi les Üigi6_les de

.tous les départemen s

du

royaum~

H.

1 •

/ti{

d'AmbÍy

s'éleva co11:tre ce projet de dé- .

cret ;

il

crai'gnit l'influence des riches ,

des

_ grands.

~eignem;s,

des

1

intriguans s·ur-tout,

qui .

se

répán_droient

dans

les

4éparterrÍens

a

l'époque \

.

<l~s élect!on~ · :

en conseqú€nce '

il

demanda

que

chi cgie

dép'art<rme-nt

efit des

~éputés

nom–

mes

et

c·hol.~is

dans

son

sein.

' .

M.

Rew.bel

défendit

l;avis

du comité, parce,

qu'il

craignit

que les esprits .particuliets des

pr:ovi~ces

_

n~

reprissent , le'ur

1

empire , si l'on

avoit

d-e,s

'.'députés

~~.s. proy~nces

,

et

non

des

¿¿6utés

de ' ia

France. ,

,.

•J. •'

(."

.,.

• •

.;

'

:

M. ,

T~rget

fit

un

ame~dement.

Prendre les

deztx

tiers de

1

s dépuiés

dans

le

département

,

et

f

autr~

tiers

sur tout le royaume..

M.

MIRABEAU.

«

Quand

on a eu

l'honneur

d'etre

le

cotn~

1

e'