{1
471 ]
págnon -O.e vos travaux, on s'attendroit plutot
a
urte grande
défaveur
p ur l'opinion-qui
v~ut
testreindre le choix des départemens , que
pour l'ópinion qui donneroit plus
ele
latitude
a
Ce
ChOÍX-H.
>~
Chacun de nous a entertdu dire qu"il étoit
le
représentant de la r:ation, solidaire des in–
tetets
et
de l'honneur de ·
la
nation, et non
pas solidaire de tel canton. Vos succes n'au–
roient pas fait juger qu'un principe si salutaire
pút
etre contesté tnaintenant
»
" La
premiere question
qn'
on ,peut se
faite ~
est
celle-ci: Peut-il
y
avoir d'autre loi pour
e
l'é1ection, -que celle
de la
c<;>nfiance?
Et
pouvez..
vous en ce sens imposer des
1
lo~x
a
vos·.com–
mettans
>'
?'
" Le second point de vue de la question
~
c'est
dé
savoir si le ptincipe d'éleetion
pour
les
'
administrations provinciales est le meme pom;
les assemblées nationales
H.
'' Dans les p':remieres, le príncipe de
res~
triction est juste et sage; ceux :qui ont un in–
téret immédiat, des con'noissances requises ,
doivent seuls etre admis
a
f'administration
lo–
éale; mais l'assemblée nationale ne s'occupe
pas des intérets locaux ; et 'il est étrange de
choisir le moment
011
vous avez
uni
toutes.
les
Gg4