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'J

h)

taus

le~

antr-es

.impots,

gabelle~,

¡raites

,..a id~~s;

etc.

Il n'tm

e :;t aucHn

que

le

renti~r

ne

sr~ppoÚ~

en.proportion de ses facultés·e'tde

ses

dépe~~~.s

,;·.

·

~>

So.umettre

.le

rentie~

a

une

retenile ,

Z.

nn

.

.

..

)

impot

direct sur

sa

rei;ite, ce

n~est

.done

pé15

vouloir qu'il

paye

sa part des -contribuü0:n5

pul;>

liques; c'est

vouloir

qn'il

la

paye

del~X

.fois

)~

.

>

>>

Et

combien

cette

prétention

n'f~ ~t

elle

pas

·injuste , si l'on réf1é chit ·que cetté

rete1fue

,

cette

imposition

directe sont

formellerne,.p.t

con.-·

.damnées

pa~

le. contrat du rentier

. <\v~c

fa

. nation ; -- qq'en

lu

1

i

deman.dant son

argent,,

~n

lµi a ·pro

mi~

qu'

auc~ne

re;enue, aucun

imp6t

·ne

pourroient

~voir

lieu

súr

la

.rente

q~ii

l\u

·fut

promise

»? ..

»

Alprs la

retenue, l'impót

don_t on

parle ;

1

étant une contn'tvention manifeste

a

un contrat

expres '

d~viennent'

quant

a

la nation qui

a

promis '

quant aux preteurs

a

qui .

la

prom~sse

a

été.

faite, une véritable

banqueroute

». . · .

>•

N

~

nous laissons . point tromper

par · des

.tnots

!

Une

banquer~ute

n'est autre chose que

ia

rupture

·de5 engagemens

d'un débiteur

envers

se~

.créapciers. Elle

~st

inn<?cente

lorsqu'elle

résulte d'une

i~1possibilité

,-réelle de

re.mplir

ses

,engagemens :

elle est

fr.tuduleus.e,

lorr

~rue

cett.~

.Íll!possi.bilité· n'est ·

qq~

simulée,

~.01!~,qlfe

AJ

I '

.,