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•( J )

noncer-

tinfáme

TTJOt

de

ba.nquerouu.,

no~1s -~v.onp

.

\

.

. .

,,

.

.

-

,.. peme a concevo1r eette proposm?n

d

~ssu3~tt1r

les créanciers de l'Etat

_a

des

i~nposítions,

·a

des rntenues sur les rentes que leur

~oit

.la.

nation

».

~>

On nous dit que

ton.te

nation,

étant sobi_...

veraine,

n'est liéepar ses propres actes ., quyau–

tant q\.i'elle juge

;l

propos de leur continuer

sa

sanction. Cette

maxime

est vraie ;. dle est

juste relat.ivement aux a etes . par lesquels

cett'e

nation agit sur elle-n:iéme ; mais elle ne l"es.t

j)aS

relativement

a

Cetfx

par

lesquels elle

~o~-

. tiacte avec une autre

partie

>).

».

Le! premiers

sont

des

loix , vi:aies

émi–

nations

de .

la volqnté générale ·' qui cessent

d'exister

toutes les fois qve lq. volonté qui le1ir

.Ionna l'etre'

ju~e

a

propos de les détruire

>>.

>>

Les autres .sont de véritables _cC?ntrats

so1i:–

mis aux

memes

regles'

aux

memes

prfocipés

t:_tne

les

conventions entre particuliers.

Si,

par

le c.ontrat,

la

natio!l

s'

est obligée en recevant

&me

certaii:ie

somme

a

payer

arprnellement

unt!

~ertaine

rente, cette

obligation

es1

aussi

sacrée

.Pºur elle que pour tout particulier qm.·

e~1 a.~1-

1·,oit

contracté une du

meme

genre; et

si

~elui­

ci ri.e pourroit

refus~r

le pai€ment de ce qu'il

~rnroit pr.~mis

, sa.Q.s

tombe~

daµs

1'

injustice

ou

A

l.