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J
l
•
·
~-
banqu-e.rouu,
comment
et
sous qnel prétexte
,une nation ·páurroit elle s'en dispenser,,
?
H
On
nous dit
que
la nation a le
droit
d'imposer. Sans
·doute qué -les
impositions doi–
Y.ent etre
réparties
avec
justice; ---
,nous
en
conve~on~
trncore ; --- mais
on
ajoute qtt'il
faut
pour
cela
qu~e
tous les genres
de' propriété
soient
i~posés· :
ce.cidemánde
quelques
expli-
.c.ation·s
~'·
~) I~
n'est
point
vrai
qu'il
faille que
tous
·le?
genres de proprié_tés soient imposés; mais
.ce
qui est . vrai ., c'est
que
tous les indi.vidus
saris e'xemption doivent
ette
soüi:nis
a
l'impot
j).
H
Or '·
direz-vot1~,
par exemple ,
qu\m
im–
:1~?t
.mis sur
les
ter~es
seulement ne"porºte
ql!-e
··s-rir
les - propriétáires ou les fermiers? N'est"'.'il
pas évident que
s'~ls
eñ font .
r
~va'nce
' Ús
-:~xer:ce~t
a
leur _foür
une
.repri~e ·
sur le con–
.
~ommateur
.,
et
q_u'en dernier résultat ,
c'est
toujours celui-ci '1ui
paye
l'imp?t,
quoiqu'en
· a,pparence
l'état ·ne lui cl,emande rien
?
Or , c·e
· consommatenr qui
vient de payer sa·
part de
l'impót sur les terres, est précisément ce
ren- .
tier
Sltr
qui
vous voudríez
mettre
un impot
direct, en luí retenant une partie ·de la
rente
1
1 . d /. 1
.
.
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m. ·
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mem~ obs ~ rvation
pel.ltse
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