17
Uro
huwrutiarct
étoile
77
Maxoruna
pari
soleil
Mayoruna
bciri
soleil
Caripuna
baari
soleil
Pano
vmri
oleil
ulino
vari
oleil
Pacauara
huari
oleil
78
Sapibocona
bwri
lune
Maropa
banf;ri
lune
Tacana
badi
]une
79
\Vapichiano
vveri
étoile
0
Baniva
pwri
reil
81
Mojo
hctrai
lumiere
82
Dan
la famill e tupi
lcu
et
bar
e ont fondu , et on y a comme
forme générale cette combinaison avec se
variantes phonétiques
naturelle :
kwcurasy gwarn
y,
warn
1t,
ignifiant oleil dans cet arbre
lingui tiqu
83 •
n . dérivé naturel de lumiere et feu, c'e t la couleur rouge de
orte que le mot
711Uala ,
par Jeque} les baures la d · ignent , corre–
spond
a
bar
-l.
Dan
le Pamná et le Chaco cette racine a au
i donné des re–
jeton . Dan
la premiere région le dérivés sont clair .
Pariá
étoile
Prá
étoile
85
Dan
la seconde région, on a pous é un degré plu Join la tran
formation gutturn]e du
b;
et
a
Ja place du
gu
on prononce
ju.
AinsÍ
on comprend que le matacos appellent le oleil
ijualct, jualá
86 •
De rude indigene de pampas argentine , je pa e aux quichés
de
l'
m 'tique centrale.
Parmi leur
divinité
fig ure une qui est
appelée
Xbalcmque,
au uj et de Jaquell e les américani ·te ne sont pas
tl
accord.
Il e t vrai que l'on
a.itque
x
initial est une préfL-xe qui
correspond au diminutif et au sexe fémin in : mai , quant
a
balan ,
ils
ne s entendent pas , et le désaccord e t compl eL
L'op inion la plu
acpeptabl
et v r
laquelJ e
'inclinent aujourd'hui les critique , e t
cell e de Brinton , qui voit dans ce héro mythol ogique un dieu lu–
mineux
7 •
J e sui
d'accord avec le distingué américaniste; car
•• Ambrosetti
(J.
B.),
llfaterictles parn el e tudio de Zás lenguas clel
gnlJ.JOkainga11gue, B11e110 Aires,
1896,
p.
35.
•• Lafonc
Quevedo,
Los indios
m~tacos
y
S1t
lengua , Buenos Aires ,
1896,
p.
30; el mismo,
G
n1110
mataco-inatalmayo del Chaco, dialecto vejoz, Buenos Aires,
1896,
p.
54.
87
E ssays
citados,
pp.
128-129.
PATRÓN.
I .
2
I'