TRAICTE DES ANGES ET DEMONS
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fensae fuerunt; dies octavus rhetoricis et
linguis datus est, latinae scilicet, graecae et
hebraicae... .: fuerunt autem positiones im–
pressae et catalogus lectionum, quae in–
choatae fuerunt sub initium Novembris»
( Chron.,
1v, I
1-12).
En este caso, las de matemáticas y meta–
física fueron del P. Baltasar de Torres ;
pues, según el P. Polanco, el año académico
de r 553 á 1554 «primum philosophicum
cursum Magister Joannes Rogerius ab ipsis
dialecticae primordiis, secundum P. Guido
Royletius, tertium Dr. Balthasar Turrianus
susceperunt....
»
(Chron.,
m,
9); ó, según el
P. Orlandini, «Philosophi re.... partes sin–
gulre singulis
a
magistris vno eodemque
tempore tradi cceptre, Ioanne Rogerio Dia ·
lecticam, Guidone Roiletto Naturalem, Bal–
thasare Turriano prima surnmamq; Philo–
sophiam ac disciplinas prreterea Mathema·
ticas explicante»
(ibid.,
pág. 309).
5656.-Traicte des Anges et Demons,
du R. P. Maldonat Jesuiste. Mis en Fran-
9ois, par ·Maistre Fran9ois de la Borie,
Grand Archidiacre et Chanoine
a
Peri–
gueux. AParis, Par Fran<; ois Huby, 1605.
-En
12. 0 ,
de 242 hs., s. varias p. n. (De
que hay varias reimpresiones, siendo la
más corriente la hecha «A Paris, De l'Im–
primerie de Fran9ois Juilltot, tenant sa
boutique sur le premier perron de la
grand' Salle du Palais, M. DC. XVII.
Avec Approbation>.-;-En 12.º, de 23
l
hs., s.
7
de port., etc.)
«Scripsitetiam [P. Joann. Maldonado] ....
librum
De Dcemonibus»,
dicen Schott
(Cata!.,
pág. 148), Al egambe (pág.
~57)
y
Sotuelo (pág. 475), sin advertir en qué for–
ma salió
á
luz ni nombrar el tratado
De
Angelis/
y Nicolás Antonio:
«De D cemonz·–
bus
quoque liber ejus laudatur, Gallice cre–
do ab eo scriptus, extat enim hujus tituli
opus:
Maldonat des Anges
&
Demons.
Pa–
risiis editus 1617. in 12.»
(1,
730).
Pero el título mismo de la obra que cita,
«fait voir que Nicolas Antonio
[y
dígase lo
mismo del Dr. Dubois, que le copia en su
prólogo de
Opera varz'a Theologica
del
P . Maldonado, pág. 6'"] s'est trompé, quand
il a cru que Maldona't a voi t écrit cet
Ouvrage en Franc,:ois. Je ne crois pas qu'il
ait jamais été imprimé en Latin.
La Borie
le traduit sur les Cayers, qu'il avoit écrit
en étudiant sous
J1'aldonat.
C'est
J.
Blan–
cone
Religieux du grand ' Couvent de l'Ob–
servance de
Toulouse,
qui ayant eu cette
traduction de
la Borie,
prit soint de la faire
imprimer,
&
de la lui dédier», según Nice–
Tón (xxm, 178).
La verdad de lo ocurrido en esto nos la
cuenta con toda precisión y exactitud el
P. Prat en su
iWaldouat et
l'
Univers. de
París.
«Maldonat (dice) avait fait, en 1570
1
les di manches et les jours des fetes, quelq ues
lec;ons sur les démons. Ces lec,:ons ne furcnt
que prononcées, parce que l'usage ne per–
mettait pas de dicter hors des jours ouvriers;
mais les auditeurs de Maldonat, avides de
toutes ses paroles,
recueilliref.itcomme ils
purent ses lec;ons sur un sujet que les cir–
constances rendaient si piquant. On. com–
prend que des copies écrites avec tant de
hate ne pouvaient etre ni exactes, ni com–
pletes. Nous avons eu entre les mains plu–
sieurs de ces manuscrits; nous avons trouvé
entre les uns et les autres d'énormes diffé–
rences.... Franc;ois de Laborie , plus tard
archidiacre de Périgueux, était up des audi–
teurs les plus fideles du P. Maldonat. Il re–
cueillit aussi ce qu'il pu de ces lec;ons sur
les anges et les démons, et ce fut sur sa
copie seule, comme
il
est permis de le con–
jecturer de la dédicace et de la préface, que
l'éditeur les traduisit ensuite en franc;ais.
Or, un ouvrage publié dans de pareilles con–
ditions ne saurait etre regardé comme légi–
time; et c'est pourquoi nous ne consen tons
point
a
le mettre sur le compte de Maldo–
nat. Nous y voyons tout au plus l'ombre
de ce grand . maitre da ns l'érudition qui y
regne» (págs. 512- 13). Estamos de acuerdo
con el P. Prat, y no entendemos cómo Bac–
ker (u, 1035-36) y Sommervogel (v, 409)
hayan podido darnos el título de este
Tra–
tado
en la misma forma y tipo de letra con
que nos describen las obras auténticas.