Table of Contents Table of Contents
Previous Page  249 / 632 Next Page
Information
Show Menu
Previous Page 249 / 632 Next Page
Page Background

TRAICTE DES ANGES ET DEMONS

233

fensae fuerunt; dies octavus rhetoricis et

linguis datus est, latinae scilicet, graecae et

hebraicae... .: fuerunt autem positiones im–

pressae et catalogus lectionum, quae in–

choatae fuerunt sub initium Novembris»

( Chron.,

1v, I

1-12).

En este caso, las de matemáticas y meta–

física fueron del P. Baltasar de Torres ;

pues, según el P. Polanco, el año académico

de r 553 á 1554 «primum philosophicum

cursum Magister Joannes Rogerius ab ipsis

dialecticae primordiis, secundum P. Guido

Royletius, tertium Dr. Balthasar Turrianus

susceperunt....

»

(Chron.,

m,

9); ó, según el

P. Orlandini, «Philosophi re.... partes sin–

gulre singulis

a

magistris vno eodemque

tempore tradi cceptre, Ioanne Rogerio Dia ·

lecticam, Guidone Roiletto Naturalem, Bal–

thasare Turriano prima surnmamq; Philo–

sophiam ac disciplinas prreterea Mathema·

ticas explicante»

(ibid.,

pág. 309).

5656.-Traicte des Anges et Demons,

du R. P. Maldonat Jesuiste. Mis en Fran-

9ois, par ·Maistre Fran9ois de la Borie,

Grand Archidiacre et Chanoine

a

Peri–

gueux. AParis, Par Fran<; ois Huby, 1605.

-En

12. 0 ,

de 242 hs., s. varias p. n. (De

que hay varias reimpresiones, siendo la

más corriente la hecha «A Paris, De l'Im–

primerie de Fran9ois Juilltot, tenant sa

boutique sur le premier perron de la

grand' Salle du Palais, M. DC. XVII.

Avec Approbation>.-;-En 12.º, de 23

l

hs., s.

7

de port., etc.)

«Scripsitetiam [P. Joann. Maldonado] ....

librum

De Dcemonibus»,

dicen Schott

(Cata!.,

pág. 148), Al egambe (pág.

~57)

y

Sotuelo (pág. 475), sin advertir en qué for–

ma salió

á

luz ni nombrar el tratado

De

Angelis/

y Nicolás Antonio:

«De D cemonz·–

bus

quoque liber ejus laudatur, Gallice cre–

do ab eo scriptus, extat enim hujus tituli

opus:

Maldonat des Anges

&

Demons.

Pa–

risiis editus 1617. in 12.»

(1,

730).

Pero el título mismo de la obra que cita,

«fait voir que Nicolas Antonio

[y

dígase lo

mismo del Dr. Dubois, que le copia en su

prólogo de

Opera varz'a Theologica

del

P . Maldonado, pág. 6'"] s'est trompé, quand

il a cru que Maldona't a voi t écrit cet

Ouvrage en Franc,:ois. Je ne crois pas qu'il

ait jamais été imprimé en Latin.

La Borie

le traduit sur les Cayers, qu'il avoit écrit

en étudiant sous

J1'aldonat.

C'est

J.

Blan–

cone

Religieux du grand ' Couvent de l'Ob–

servance de

Toulouse,

qui ayant eu cette

traduction de

la Borie,

prit soint de la faire

imprimer,

&

de la lui dédier», según Nice–

Tón (xxm, 178).

La verdad de lo ocurrido en esto nos la

cuenta con toda precisión y exactitud el

P. Prat en su

iWaldouat et

l'

Univers. de

París.

«Maldonat (dice) avait fait, en 1570

1

les di manches et les jours des fetes, quelq ues

lec;ons sur les démons. Ces lec,:ons ne furcnt

que prononcées, parce que l'usage ne per–

mettait pas de dicter hors des jours ouvriers;

mais les auditeurs de Maldonat, avides de

toutes ses paroles,

recueilliref.it

comme ils

purent ses lec;ons sur un sujet que les cir–

constances rendaient si piquant. On. com–

prend que des copies écrites avec tant de

hate ne pouvaient etre ni exactes, ni com–

pletes. Nous avons eu entre les mains plu–

sieurs de ces manuscrits; nous avons trouvé

entre les uns et les autres d'énormes diffé–

rences.... Franc;ois de Laborie , plus tard

archidiacre de Périgueux, était up des audi–

teurs les plus fideles du P. Maldonat. Il re–

cueillit aussi ce qu'il pu de ces lec;ons sur

les anges et les démons, et ce fut sur sa

copie seule, comme

il

est permis de le con–

jecturer de la dédicace et de la préface, que

l'éditeur les traduisit ensuite en franc;ais.

Or, un ouvrage publié dans de pareilles con–

ditions ne saurait etre regardé comme légi–

time; et c'est pourquoi nous ne consen tons

point

a

le mettre sur le compte de Maldo–

nat. Nous y voyons tout au plus l'ombre

de ce grand . maitre da ns l'érudition qui y

regne» (págs. 512- 13). Estamos de acuerdo

con el P. Prat, y no entendemos cómo Bac–

ker (u, 1035-36) y Sommervogel (v, 409)

hayan podido darnos el título de este

Tra–

tado

en la misma forma y tipo de letra con

que nos describen las obras auténticas.