PTÉROPODES .
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·ois; mais il n 'oITre jamais d ' appendice crecal
a
sa
partie postérieure (1) . Apres s' etre rétréci de nouveau
et s'etre porté du coté droit, en croisant l'resophage,
l'ovi<lu te vien t se jeter dans un canal plus large dont
les circonvolutions serrées forment, comme dans les
H
ales, cette masse globuleuse que nous avons con–
sidérée comme la matrice (
pl.
1O,
fig.
!~,
5,
3q.,
39,
1~1,
et pl. 11, fig. 3, 6, 7,
o, z, z', x .)
·
La derniere portion du second oviducte ou le va–
gin offre, daq.s quelques especes de Cléodores, Ja
meme disposition que dans les Hyales, c'est-a-dire
que cette partie longe le coté droit de l'animal pour
venir se terminer a
l'
origine et sur le bord postérieur
de la nageoire correspondan te; un repli cutané tres–
fort , qui forme quelquefois inférieurement une bride
saillante, la fixe aux parties voi ines , et se prolonge
ensuite jusqu'a l'orifice de la verge ( pl. 1O, fig. 3, 4,
5,
d,
o').
Dan d 'autres especes, ce vagin esttres–
court, et se trouve presque confondn avec lama se
globuleuse formée par la matrice; dans ce dernier
cas, il est toujours fixé par un repli de la peau qui
forme une esp ece de levre sw· son ouverture ( pi. 1O,
fig. 34, 35,
o' ).
Enfin, dans les especes a coquille
tre -allongée , cette partie offre une longueur propor–
tionnelle' pour venir aboutir a la racine de Ja na–
geoire droite ( pl. 11 , fig. 3, 5, 6,
d,
o' ).
(i)
Dans une seule e pece, la
léodore alene
( C.
subulata ),
nou s
avons trouvé cet appendice placé
a
1
extrémité anté1·ieure de l'ovi–
ducte qui n offre pas de r enflement ur le reste de son trajet ( vo .
la
pi.
i1,
fig.
7,
z
et ;:;').