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IOLLUSQUES .
par un seul trouc , que par une série de veines qui
viennent se ramifier isolément dans la membrane
branchiale. La veine branchiale , au contraire , est
volumineuse et formée de deux trenes principaux
dont la dispositi on est la meme que celle de l'appa–
reil branchial ( pl. 1O, fi g. 19, 20,
q.)
Le cceur est placé, comme dans les Hyales, du
toté
gauche; il est également enveloppé d'un péricarde
Iache et fort mince, a travers leg uel se voient, par
transparence, l'oreilleue et le ventricule qui sont aussi
disposés de la méme maniere, et présentent une orga–
nisation tout
a
fait semblable ; mais l' oreillette com- .
munique avec une peche pyriforme qui est appliquée
contre la paroi inférieure du manteau
a
laquelle ell e
adhere d'une maniere intime. Nous avons déja cher–
ché' dans nos généralités'
a
donner l 'explication phy–
siologique de cette organisation particuliere ( pl. 1O,
fig. 1,
29,
31,
y,
etpl. 11, fi g. 3, 11,
12, y ) .
Organes de la génération.
-
La disposition gene–
rale de cet appareil est la méme que dans les Hyales .
L'ovaire ou plutot l'organe hermaphrodite, dont la
forme est en rapport avec celle de la coquille, est éga–
lement compasé de deux parties superposées, et consti–
tué par des plaques empilées les unes
a
la suite des
autres. L'oviducte, qui en sort en avant, est d 'abord
tres-mince et se renfle ensuite dans une portian variable
et plus ou moins étendue de son trajet. Ce renflemen t
es t formé ? cornme dans les H ales, par un e mati er
granuleuse hlanchatre qui en ' paissit b eauco up les pa-