PTÉR.OPODE
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. plafond d ' une cavité que Je manteau cÍl'conscrit en
dessous , et sur ]es c6tés de la masse viscérale;
sa
dispo ition généra]e est aussi tout a fait semblable ,
c'
t-a-dire qu'il forme autour de cette masse viscé–
ral une espece de fer
a
cheval dont Jes branches se
prolongent sur Jes c6tés, jusqu 'a peu <le distance du
h rd antérieur du manteau. Mais cet appareil differe
beaucoup de celui des H. a]es par sa dispqsition par–
failernent symétrique, et smtout par · sa structure
anatomique;
.il
est en effet composé de deux par ties
tout
a
fait semb1ab1es
a
droite et
a
gauche' et se
réunissant en arriere sur la Jigne médiane; sa slruc–
ture est aussi bien différente, car on ne trouve plu
ici la disposition lamellée que nous avons décrite
dans les Hyales, mais une simple membrane adhé–
rente par un de ses bords, libre dans Je reste de son
étendue, et faisant saillie dans la cavité branchiale .
C'est sur cette m robran que viennent se ramifier
le vais eaux branchiau ; lorsqu'on l'examirte
á
un
grossissement un peu fort, on voit ce vaisseaux for–
mer un r éseau tres-serré
a
sa surface ( pl. 1O, fi g. 3,
19, 20) (1).
Organes de la circulation.
-
L'artere et la veme
branchiales nous ont paru occuper également le
bord adhérent de la branchie. Le premier de ces vais–
seaux est peu apparent et semble constitué, moins
(1) En examinant cette mcmbrane
a
la lumiere dirccte, nous
a on
ru oir aussi
a
a surface un grand nombre de petit point ·
·aillant ·, couverts de cils vibraLil e (vo . la fig. ·19).