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M

(;lE

URS E T R.ELLG iON.

des cérémooies,pa"itmnes une foule d'usages et de rites

de l'ÉgL1se catbolique¡ d'autre paxt, un

gr.md

nombre

d'usages locaux et popuJa'ires 'luí se sont rattaché'

a

des

Fetes religieuses, soat des tesles inc-Onsc.ieats dlt pa:ga–

nisme antiq,ue. Mai les campagnards, iMlieos a aient

conser\(é bien des, pra'Lique.s qni a-CCllsent un re te de

paganisme. Tels:

son~

ces

me~s

qu'9n plaftait sur les

tombeaux quatre' jours avant la fete. de Saint-Pierre es

Líens, p ar conséquenll le jour des fétes qu'on célébrait

autrefois en l'houneun des manes, (18 fé v,rier)t. Peut–

étre d'autres traditions de ce genre s:tHaient-elles con.–

ser 'ées et n'ont-elle ,disparu que de))uis, la Rcnaissa.nce.

, Peul·Hne oleSlrCe qu'un paradoxe apparent que de dire

qu'en Italie les, &r@yances

populair.es

étaient d'autan.t

plus tenaces qu'e1Les se Ilattachaient de plus pres au

paganisme.

Il

serait assez faeile d'indiquer jusqu'a quel point ces

sortes de cJloyances

~taient

llépan.dues dans les classes

élevées. Aiasi que nous cru aVODS fait

m

remarque

s,

p¡:o–

pos de l'inftuence du elecgé-, elles

av~ient

pO.ur

elles la

I

Bapt.

IIbNTUAN.,

De

sacri.

diebru,

s'écrie :

Ista superstitlo, duceos a MUllbu. ortom

Tarlareis, sancta

d~ rell~jone

facessat

CbristigenÓm! vivis epulas date, sacra .epultls.

Un siecle auparavant, lorsque I'armée d'e Jean

xxn

aIla I'alre

juslic:e des Gibelins de la M

allcli

e; l'expédilllion

eub

pour molit

l'accusaLion formelle

d

'ere.ia

el

d'idolatria;

Recanati, qui se soum it

volooLairemeot, n'eo fut pas moios brillé, sous prét exle • qu'oo

y

avaiL adoré des idoles " maiS' en réaliLé pour ven{l'eT

fa

mor.t

de nombreuses vlcLimes frappées par les habitanLs de la ville,

, iov.

VILLANI,

IX,

139;

141. - Sous Pie

n

paralt

UD

adorateu-r

obstiné du soleil, Urbioate de naissance.

SVLVU

...EN.

Opena,

p. 289,

.Hisl. rer. ubique gestar.,

ch.

XII. -

Le fait le plus ex.Lraordinaire se

passa sous Léon x, ou plutót dans I'intervane qui sépare le pon–

tificat de Léon de celui d'Adrien, juin

1552 (GREOOROVIUS,

VIII,

888), en pLein Forum, A-Rome : A1,'oecasioad'lJInepeste. on s.acrifia

loLeonellemenL un tallreau Ala

manié.ne:

de-s pa

:ie.ns

. Pan!

J.oVIUS.

Hút.,

XXI, 8.