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itlOEURS ET RKLIGION.
les souverairu; de la terreo La
pe!IBé~
de ['auteur allait–
elle aus5i [oinil c'est une question que mous n'examine–
rons paso
On ne saurait raisonoer d'une maniere plus en fnntine.
Le bralve homme n'.a
.pas
neme tl'idée ·de se dire que la
résu,I'(leotion ,de l'antiquité et l'eN.tcnsÍ'o:n colossale de
['hol
i ~on
jnte1lectuel
p0U
raient, .suiy,ant les
cko~n
slances, tourner au lniomphe de la Jleligioln. !JI aimerairt
bien défendre ue .qu'on o.e peltt plus
supprimer.Engénéral,
il
n'était rien 'moias que libéral
i
,aux
astrologue~
impie, , par exemple,
il
réserve le bucher sur lequel
il
devait fl nir ,tui-meme
l.
Combieo a díi étre puissante
l'~me
qui habitait II CÓlé
de cel esprit élr,oit! Quel
~e u
ne
fallaÍll-~1
lJlas 'P0ur
amener les Florantins, ce peuple si pasfionné pour la
cullure,
a
subjr le joug de pareilles dootrines'!
A
sa voix, Florance étiJ it préte II sael'ifler ses reuvres
d'art et ses souv cnirs mondains, lémoiu ces holocauslcs
c ;lebres a cóté de quels
~ou
les
talami
de Bernardin de
Siellne et d'autres étaient cho e iusigoifia ul!e.
Sans doute Savonal'Qle n'obtenait pas ces résnltats
san I16eourir II des mesures tyrauniques et vexaltoiFe _
En géuéral,
il
a peu respecté la liberté de la vie lprivée.
si chel1e aux
.Ita~iens
i
e'e t ainsi qu'il voulait que les
domestiques e fiss.ent les es,pioos de leul's maitres, afi n
d'arriv;er par Qe m0yen a réfomner les mreurs. Ce que
plus tal'd le farouche Calvin oe put f:-\Íl'e qu'a gl'an-d'–
peine II Gen.eve, grAee
a
,uo état de siége permanent,
devait falalement échouel' II FJoreuce
i
lI,e changemeul
l'
dieal de la vie publique et 'privée y deMait 1'.ester a l'.éitat
d'essai, et eeHe tentative devait irritCil' jusqu'a .la fureur
1
JI
dit des
impii astrologi
:
Non
e
Na disputar (con loro) altrimwti
élu
colJuDeo.