cnAPITRE 11. - LA RELICION OANS LA VIii JOliRNALleRE. 2:>1
abstra
I
ion faile du acerdoce el du monachi me,
00
la
trouvera lanlót dérisoire, tanlót immen e, selOD qu'elle
apparattra par un certaio cóté el ou UD cerlain jour.
Nou avons déja parlé des sacremenls el des béoédictions
con idérés comme o'étant pa iodi pensables
(t. ''',
p. 131;
t.
11, p. 234); jetons maintenant un
COU))
d'reil
ur l'éLat de la foi et du culle dans la vie j ournali I'e.
Sur ce poiot la mas e et ses habitudes, aínsi que le
compte que les pui sant tiennent de I'une et des au tres,
sonl d'un poids déci if. L'e prit de péoiLeoce el "aspira–
tion au alut élernel par les boone reuvres existaient
chez les paysaos et daos les c1asses ioférieures dans la
méme proportion que chez les peuple du Nord, et
e reoconlraient méme quelquefois chez des hommes
cultivé . Les cóté par lesquel le catholici me populaire
sc rallache
a
l'anliquité , au paganisme, les invocalions.
les présents, le expia lion sub isten
I
chez le peuple en
dépit de tout. La huilieme églo-gue de Battista Manto–
vano, citée déjll dan une autre circo o taoce " conlíent
eotre aulres la priere d'un pay an
a
la Madone ; la Vicrge
y e t invoquée comme protectrice spéciale de Lou les
i n tér~ l
de la vie champéLre. Quelles idée le peuple
e faisa il-il de la valeur de certaine madones doul
on implorait le ecour ? que penscr de la dévotion
de ccHe Florenlíne
2
qui offl'it
a
un . aiot un toonelet de
cire comme ex-voto, parce que on amanl, un moine,
avait pu vider un petil
flH
de vin an que le mari absent
s'en
ap er~at ?
De méme certaio saínl élaieol le paLl'ons
de corporalions détermioée ; c'e' l uo fait qui uh iste
encore
au~ ourd' hui.
00 a ouvent e a 'é de ramenera
I
Avec le lilre :
De MlI/icoru," religiolle.
omp. plus haul, p. 97.
• Franco
ccnsTT', nov. •
09,
011
)'on trouve encore
d·autre.t
trail
du
méme Genre.