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LC1lEU.RSET
RE'L.IGION.
rem3Jl'<!Iuera
qU.e
des récits, d.e ce dernier genre ne
~ODt
pas des nouvelles IU''0preliRent dines, mais seulement des
ex.emples
lerr~@-les
pris dans la vte réelle
l.
A mesure que L'influence espagoole se
fU
sentir daV'31o–
tage dans la vie italicnne a:u seizieme siecle, la jalol1s1e
3llgmenta ' peut-étre
~n
€o.rede violeoce, aiosi que les
m@yens qu'elle emplClyaitb; pourtaDJt
il
fa.otla distinguer
de la puoilion
~e
l'illfldélité tene: qu'eL}e existait aupara–
vant et qu'eHe dérivait de L'csp.rit méme de la Renais–
sanee iLalienne. La jalousie., montée
a
son comhle sous
l'empire de la culture espa{)Dole, décrut avec elle, et,
a
la
fin du dix-septieme
siede~
elle
fit
place
iI
cette indiFfé–
rcncc qui considérai,t le sigisbée comme une figure indis–
pensable dans la majson, et qui, de plus, acceptait encore
nn ou plusieurs soupiran:ts
(patl'i).
(lui pourrait eBtreprendre de comparer la somme
énorme d'immoralité que renferment les intrig'ues
do.otparlent les auteurs, avec ce qui se passait daos d'autres
pays? Le m31riage en France, par
exemp.le, était·il réel–
lement plus sacré au quioljieme siecle que le mariagu eo
Italie YLes fabüaux et les farces font naitre des dOlltes
sérieux
a
cet égard, et l'on est fo.ndé
a
croire que les
infidélités étaient aussi fréque'otes; seulement elles avaie-nt
moins souveot une is,sue tragique, paree. que l'indiv.idua–
lisme était moins dével.oppéo On trouverait plutót en
faveur des peuples germaniqu;es un témoignage déoisif
dans la liberté plus grande dODt les femmes et les jeunes
tille jouissaicnt daos leurs relations sociales, liberté que
les ltalien furent si,ag,oéablement surpris de t'rouver en
Angleterre el daos les Pays-Bas. (Voir p. 147, Dote 1.)
E.t
pourtant
U
ne faodrait pas attacher une grande Impol'-
I
00 en
trouvc
UD
cumple daos
B4Nl)ULO.
parte
1,
DOY.
f.