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r.
J\1ars.
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PHOQUES.
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~·Jorse.
l
l·
f'.
orse
de
l.oo~.
VOYAGE
jusqu'a la Pointe la plus Orientale de ce Continent
dont les Cotes sont tres - peu
fréquentées
' ; on en
voit fort rarement dans les Mers tempérées : l'Espece
qui se trouve sous la Zone Torride et dans les Mers
des INDES ÜRIENTALES est différente de nos
Morses
du NORD; ceux -
ci
craignent vraisemblablement ou la
chaleur ou la sa!ure des Mers méridionales : et comme
ils ne les ont jamais traverséecs, on ne les a pas trou,vés
vcrs
l'autre Pole, tandis qu'on
y
voit les grands et les
petits
Plioques
de notre Nord, et que meme ils
y
sont
plus nombreux que dans nos TERRES ARCTIQUES "·
To
u
T ce que
je viens de rapporter, d'apres les
' On trouve des áents de
.Morst,
éparses sur lei rivages,
aux cm\'iron.s d
la
Nor:i•tllt Zw1hlr,
et dans toutes les !les ,
ju
¡¡t¡'a
l'Obi;
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meme jusqu'aux
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,
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efois
usqu'au
Piassida:
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cnsuite.en<J,fl3i;t~íté e~
ointe de
Sialaginskoi
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'is,
ou elles so t fort
.grosses.
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est croyablc
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·ma x se r
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t ré a us en grand nombre depui1
ret endroit jusqu
1
au fleuve
nadir,
puisquc coutes les cienes
que l'on apporte
a
vendre
a
YakutiA
viennent
d'Anadirskoi.
On trouve aussi de
ces
dents sur les
cotes
du Détroit de
Hudson
,
a
!'lle
Phdipr11ux
ou elles ont une aune ( de
Russir
)
ele long et
sont grosses
comme le bras.. ( Voyez ·le
Rm ttil
a'n Voyagts
au
Nord.
T ome VI, page 7. )
Gmdin
ne pense pas que les habitans tres-peu nombre,ux
de ces tristes contrées du Nord-Est de
!'Asir
s'occupem de
cóasser le
Jll orst.
"
Je n'ai pas entendu dire , lit-on dans son
V'!)·age rn Sihérit ,
qu'aupres
d'Anadirskoi
l'on ait jamaís rouru
a
la chasse ou peche du
Moru
pour en avoír des dents qui,
nlanmoíns , en viennent en si grande quantité : on m'a assuré,
~u
cont;aire, que les habitans trouvent
ces
dents détachées de