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D E M A R C H A N D.
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r.
Mm.
22.
PHOQUFS
sorte de tourbe, formée des
libres décomposées des
herbes et des
j~ncs
marins, laquelle br ule tres -bien et
se trouve dans plusieurs cantons de !'lle. On sait aussi
que les Pecheurs du GROENLAND alimentent le feu
de leurs chaudieres avec
fes débris de la chair des
Phoques
Baleines,
apres que l'huile en a été extraite, et avec
propremen• diis.
toutes les parties .de. !'animal qui ne sont pas un objet
Grand
Phoque
de commerce. AMS"JlERDAM, con;1me SAINT -
PAUL,
de l'ile
a:
"
d
J
11
b ..
Saim-Paul.
oarf! ces memes ress0urces ,. et
e p us e e a ses ors.
Mais on peut condure de tout ce qui a été dit sur
ce-s deux
i les ,
que' !'une et l'antre offrent également
de grandes facilités pour la chasse du
Phoque
et la
peche de la
Baleíne
;
~t
que
I
'Armateur qui voúdra
s'occupcr de cette spéculatíon , et la
~ombincr
avec
un Voyage
a
J
CIDNE ,
pour
y
.échanger les huilcs ce
les pcaux
ont
e
les marcha
dis
s de
)'QJ\.IE
peuc
n be éfie
2.
0
Le
HO
!,e
Phoquc
o
Ce
Phoqu
pu;
de s
t pie s-
et
son
'""' re bl111c.
poids est de six ou sept ce ts livres. Sa pcau
ese
cou-
venei
d~ull ·
pbil court tres-ras , lu stré et de coulcur bru nt:
mélangé~
de gri satre , principalement suit le cou et la
tete ou il paro!t comme tigré; le poi! 'est plus épais
sur le dos et sur les cocés du corps que sou's le ventre,
ou l'on remarque une grande tache blanche qui se ter-
mine en pointe en se prolongéant sur les flanes : les
yeux sont gran ds, bien ouverts , de couleur brúnc et
assez semblables
a
ceux du
B reuf :
lorsque !'animal
est long-temps sans entrer dan s l'eau, son sang s'échauffc
et le blanc de ses yeux devien¡ rouge, sur-tout vers
les
angles.