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J\1ars.
21..
Baleine;
car, pendant notre séjour dan s la Rade de
VLAMMING, nous y avons vu affiuet ce Cétacée qui.
est de l'Espece disú ngu ée par la dénomination de
PHoQuBs.
Sperma Ce
ti
[
le
Caclialot].
En quittant SAINT-PAUL ,
Je Vaisseau se rendroit
a
la CHINE' ou
¡¡
est probable
Phoques
,
.
.
proprement dits.
que les peaux et
1
huile sero1ent vendue s avec avantage;
Grand
Pl;oque
car, quoique, en général ,_ les Chinois estiment peu les
de
t'í!e
Huiles de Poisson, cependant l'échan tillon que nous
Sainr-Pa;,l.
leur en avons montré a paru leur etre agréable; et je
suis
persuad~
que cette huile seroit bientot golitée
a
la CHINE' et s'y vendroit
a
un bon prix : celle que
nous y avon s portée étoit d'un e bon té remarquable ,
t ransparente, sans odeur, et absolument exempte ele ce
goftt de rance dont il est i.mpossible de dépouiller l'huile
de
Baleine
'"
L 'ile d'AMSTERDAM o riroit
Ce!
s~,
J>C~IJ..L-<JC_j\\,I
our l 'opéraüon
1.ER,
si, , en effet ,
wques
ei les
~aleines
a
emiere ile et dans
se
~1wirons .
AMSTERDAM est couverte de bois qui
serv iroient pour entreten ir Je feu des chau<ljeFes, sans
prend re sur les combustibles que
le
Vaisseau peut avoir
en approvisionhemen t : SAINT-PAUL, au coritraire, ne
prése nte pas un arbuste. C en e derniere lle offre,
a
la.
vérité ., les herbes grossieres et les joncs dans lesqnéfs
les
PÍ1oques
se retirent , et qu'on peut bruler ; mais
cette resso1.1rce seroit bien tot épuisée ; et il se pourroit
d'ailleurs qu'une t; rre découvene et dépouillée d'abri
cessat bicntot d' etre fréquentée par les Amphfbies qui
n'y trouveroient plus de retraites. Un e autre ressource
plus abondante dans I'ile de
S~ I NT
- PAUL, est une