VOYAGE
C<>1tMORANS.
c_ompagnons , gisans et morts aupres d'eux, soit une
Le Nigaud,
] e~on
assez forre pour leur apprendre
a
se soustraire
par la fuite
a
l'a destruction qui les menace.
D'apres
les
observations
de
REINOLD FoRSTER,
On pourroit cependant douter que t:oiseau que
Ptrnmy
nomme
Pie-de-ll1tr,
synonyme
d'Hu1trier ,
soit en effet IJ
meme Espi:ce que I'
Hultrier d'Europe;
car
Bougainvillt
(
pag. 7;
de son
Vo;•agt)
nous <lit que
lts íles /ltfalo11Í!1ts paroisst/11 é1rt
absolumwt
7irii1ées
,d'Hu.itres:
ces iles offriroient
don~
peu de
ressources
a
l'
ffuí1ria ·:
cl'ailleurs, la Description que
Bou –
gaim•ille
nous donne de la
Pie-dt-Mer
des
Jltfaloui11es,
annonce
que, si cet Oiscau est l'
H1dtrirr,
on doit du moins
l~
regarder
~omme
une
Variété de l'Espece. "
On.
rencontre to11te
Panné~
au bord de la Mcr, dit-il (
lbid.
page
71 ) ,
un oiseau asscz
¡]