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D E MARCHAN D.
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La chasse de ces oiseaux n 'exige pas l'arme a fen
pour ccu x qu i nichent dans
les touffes d'll.erbes o u
dans les crevasses des rochers ; on peut les tuera coups
de perche et de baco n ,
sans q ue
l'aspect de leurs
apprend qu'ils mulc iplicnt aux )les
Mnlouinrs;
et l'on voit
dnns la Rclation du Voyage de
Survillr,
qu'on les rencontre
quelqucfois en haute mer
sous
la Zone Torride; ce
N aviga·~eur
en vic dans
sa
tra\·crsée des il es
Bnslzrrs
-aux llcs
SalomOll
•
(
Dlco1111mrs drs Fra11rais dnns Ir S . E . dr
/11
No1111rllr-Guin/r,
Page
1o 1 )
:
i1 ese proliable que cet oiseau
se
trouvc aussi
dans tes
lndes O rientales; car on en connoit une Espcce
sous
le nom de
Chr11n/irr dr Brngnlr
ou
Chrvalirr
Vrrr.
-
L~
c hair de
ces
oiscaux est asscz
délicac~
:
D.
Prma 9•
vanee
ccux rles iles
A1nlnui11rs.
z.º
11
fa ut que
a
nux iles
/1111
nom p:ll' les
1rouvc
ni
dan
dnns aucunc
d'
flistoirr
11111
~
(
•
e
t.'
re
Jonnés par les
M
rin
,
non
re~us
par les N aturalistcs ;
car on voit Jans le Journnl de
Su11•illr,
que, dans l.1 meme
travcr!ée
oi1
il rencontroÍI les
Clirvalurs,
il rencontra nussi
des
I'iprlints ;
c'est ainsi qu'il les nomme, et ce sont sans
dot11e
les
Pi¡1dir11nrs
de
Prrnm;•.
Fri?Jrr,
dans son
l'op1gr
J:
/,1
,lfrr du
Ju,/,
fai t :mssi mcncion de
lll
Piptlint
qu'il dit
ressembl r
a
la
,)Joumr.
(
oye~
1
la
fin de ces
otices , parmi
les
Oist11u.r
¡1ru con11us,
l'Jrriclc de la
Piprline.
Parug. XI. )
3.• Ln
Pir-tlr-11Trr ,
que quelques-uns nommcnt
Blcassr-dr-
11/rr , est
l'liuitritr
des
rnichologistes (
en
Lotin,
Oszrulrgn ;
en
11glals,
r.i-Pir
et
Rr,f-J/i,111A
(
jambe rOUl(e ); en Grii:n–
l.111J
,¡;,
.1
Jrsriu
).
L'
HN1irirr
cst de
b
gro s ur J'unc
Cornrillr:
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