1791.
Seprtmbre.
21.
Du
10
Octobre
1791
au
3
r
Janvier
1792.
VOYAGE
portés plus au. Nord qu'ils ne le sont. ordinairement,
qu'on étoit alors a l'Équinoxe d'Automne de l'Hémi·
sphere Boré¡tl, et que, les Mers au Nord du T ropique
ayant été échauffées pendant l'Été de cet Hémisphere,
les Oiseaux ·de la Zone Torride peuvent,
dans.lasaison
ou l'on se trouvoit, sortir des
limites de cette Zone
vers le Nord , sans· s'apercevoir qu'ils ont changé de
climat :
if
est douteux que l'on rencontrat ces memes
oiseaux a une Latitude aussi élevée , apres l'Égui1lóxe
de Printemps.
Depuis le
10
Octobre,
a
·34 lieues dans le Sud-Sud–
Est des iles SANDWICH , et par
20
deg. et demi de
Latitude Sud, jusqn'a la re-ncontre de ces ilcs, et depuis
ces iles , en
raversant le GRAND - ÜCÉAN ÉQUINO·
,
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ces
orseaux se trouvo1ent
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1
di,
at que la Nature paroit
-~~"oté .
Les seuls. animaux que , pendant cette périodc de
temps, LE SOLIDE ait rencontrés pour la premiere fois
dans son Voyage , sont des
Couleuvres
qu'il aper\Ut
sur l'eau dans la MER DE CHINE.
Le 10 Décembre ( 13.º
22'
N. -
109.• 25'
E.),
il en vit une ;
il
en vit plusieurs, le 16 (
1.
0
~
N.
-
1
º\-°
f
E. ) , et d'autrcs
le
17,
par
la meme
Longitude , lorsqu'i l coupoit la Ligne ÉAuinoxiale :
il
naviguoit alors entre l'ile de B o R NE o et celle de
SUMATRA.
Comme
les Naturalistes ne connoissent point de
Couleuvres de Mer;
j'ar
cherché a savoir quelle pouvoic