r79
r.
AouL
11,
SARlCOVlEN!ili.
Sertembre.
8.
ALOUETTE
ns Mm<.
VOYAGE
»
La
Loutre de Mer
ou
Saricovienne
differ-e ' de· la.
Loutre de Riviere
assez comrnune sur la nieme Cote
,
qui paroit etre de la meme Espece que la
Loutre du
CAN
ADA,
et que les Naturels de NoOTKA nom–
ment
Capucca :
la premiere · est supérieure de heaucoup
a
la . seconde par sa taille, par se; formes , et par la
heauté de sa fourrure '
».
LE SOLIDE prit son Point de Départ de
la Cote
d'AMÉ
RlQ
u
E '
le
8
Septembre'
a
la hauteur de BER
K
LEY–
So
u
ND,
dans le Sud de NooTKA, par
48,
c!ger~s
trois
c¡uarts de Latitude : le voisinage du Continen¡ lui avojt
procuré la visite d'un petit oiseau ,de terre et de.,quelques
ALOUETTES DE
MER.
et
les Groenlandais ,
<¡ue l'huile d.:
Ba/tine
les
v,i,ru de
oyez
uirds Vo.Jagts,
pages
241
a
244.
Le capitaine
Mrarrs,
dªns un
~utre
endroit de la Relation
de ses Voyages, observe que la chasse de la'
Loutre d< Mrr
est
l:11igant,e et pérílleuse. Elle se fait avec deux canots , les armes
des
Chass~urs
sont des fleches , et un petit harpon attaché
~
une longue
cor~e
assez forte pour· ramener
aupr~s
des em–
Harcations
ºh
loutrr
harponnéc. C'est souvent au milíeu des
roél1er~
que les <Zhasseürs von-r chercber !'animal : qudquefois
ils
le surprennent dormant sur le dos
a
la ' surface de l'eau.
L1
L oum
hlessée et tirée
a
bord
se
défend avec courage; et
quelquefois des coups de griffes et de dents font payer_,cher
sa
capture.
Le
moyen le plus usité pour la prendre, est de
fa
poursuivre quand ,on la découvrc
¡
et
cette chassc dnrc