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VOY ~ GE
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La conforn1atio.n intérieure de ces arlimaux ne leur
permet pas de rester sous l'eau plus long• temps que
deux minutes; apres quoi ils 'sont forcés, pour •prendre
SAnicov•ENNB.
leu r respiration, de remonter a la surface. · Cecee obli–
gation de revenir ' san s cesse hors de l'eau, donn eroit
aux Ch asseurs qui les poursuive nt, trop
·d~
facilité
a
s'en 'rendre les maitres, si l'extreme agilité de l'animal
et la rapidité de ses mouvemens
a
la nage, ne décon–
certoient souven t toutes les mesares les mieux combinées
de la part de son ennemi '.
,, La Nature a accordé
a
la
SarícovíMne
des armes
aussi redo utables dans l'atta
0
que, qu'utiles pour la dé–
feme : ses, pieds de devane sont conformés comme ceux
de la
L oucre de Riviere
';
mais ils sonr et
0
pl us grands
et
lu s forts : les
pie~s
de.deniere sont unís par
~ ne
m~mbrane
et
1t l'office de rames · les pieds de der-
r
ce
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ci
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ce.u
de
dévan t , d'un
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ar éc de 'deux rangs de
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ced
pour la' force
á
cell·es
--ce1=n-""'·al mar
si
f'
e
excepte le
R equin.
,, La beauté de la· fourrure va1;e av'ec l'age:
a
que!–
, q(les mois , les P etícs sont couvercs d"un péíil
long ,
rude ' et propre
a
garantir le beau dtJ.vet qui se 'trouve
en dessons
>.
Sou vcnt les Américains. arllihent fe pre–
mier poi! grossier, lorsque le poil ou duvet inféríeur
se
lnontre d'u n beau brun et commence
a
présenter
.
'
• Et
par conséquent les doigts eles picd; de llevan! sont unís
par une mcmbrane , comme ceux des, pieds de dcrrícre.
•
Bujfon
obser\'e qu'en général
tous
les jeuncs anímaux
sont
jolis , mais que les jeuncs
Lorure; ,
au contraire , sont plus
l..1dcs que l
s
vi@íll.:s,